Augmentation salariale pour les assistant.e.s et premier.ère.s assistant.e.s de l’UNIL

La Direction a annoncée aujourd’hui (20 mai 2014) une augmentation de salaire pour les assistant.e.s, les premier.e.s assistant.e.s, ainsi que les assistant.e.s-étudiant.e.s et les professeur.e.s ordinaires.

Cette augmentation fait suite à une demande de la Direction de l’UNIL au Conseil d’État d’analyser le barème salarial de toutes les fonctions d’enseignement de l’UNIL suite à la refonte du système de rémunérations de la fonction publique vaudoise (DEFCO) dont le personnel enseignant de l’UNIL était exclu. Le Conseil d’État a donc procédé à une comparaison avec les autres universités de Suisse, et il s’est avéré que les salaires de ces quatre fonctions étaient résolument trop bas.

Il s’agit d’une augmentation substantielle prévue dès 2015. Les assistant.e.s verront ainsi leur salaire augmenter de 11%, soit un salaire annuel de 65’000.- en première année (contre 58’445.- actuellement),  et de 75’800.- en 5ème année (contre 73’072.- actuellement). Les salaires des premier.e.s assistant.e.s augmenteront quant à eux de 5%, passant à 80’000.- par année en première année (contre 75’800.- aujourd’hui) et à 89’600.- par année en 5ème année (contre 88’379 .- aujourd’hui).

Cette annonce ravit ACIDUL, elle va dans le sens des actions menées ces derniers temps (voir posts ci-dessous) pour une augmentation salariale des jeunes chercheurs.  

>>> lien vers le barème actuel des salaires

>>> lien vers le nouveau barème des salaires en vigueur dès 2015

>>> lien vers l’annonce de la Direction 

Pétition pour une prise en compte des frais d’assurance-maladie par l’Université de Lausanne

Depuis quelques semaines, un groupe de chercheur.euse.s de l’UNIL s’organise pour faire reconnaître le coût trop élevé de l’assurance-maladie. Jusqu’au 1er janvier 2014, les chercheur.euse.s étranger.ère.s bénéficiaient en effet d’un tarif préférentiel en matière d’assurance-maladie, parfois jusqu’à 5 fois moins élevé que les Suisses. Bien évidemment, ACIDUL souscrit au principe de solidarité de l’assurance-maladie et reconnaît qu’à salaire égal, les frais d’assurance doivent être les mêmes pour tou.te.s, peu importe la nationalité. Cependant, la fin de cette situation d’exception remet sur la table le problème général des frais d’entretien, beaucoup trop élevés pour certaines catégories de chercheur.euse.s.

Leur exception n’étant dorénavant plus possible (voir notre article sur le sujet), nos collègues étranger-ère-s se sont en effet rendu compte de la part démesurée de l’assurance-maladie dans le budget des ménages et ont décidé de réagir. En collaboration avec ACIDUL, ils.elles ont mis en ligne une pétition demandant à l’Université de Lausanne une participation financière aux frais d’assurance-maladie, ou une augmentation de salaire pour contribuer à couvrir ces frais, et ce pour tou.te.s les chercheur.euse.s de l’Université.

Les arguments pour soutenir cette pétition ne manquent pas. Depuis plusieurs années, les salaires à l’université n’ont pas augmenté alors qu’une partie des coûts de la vie, comme le logement (notamment à Lausanne) et les primes d’assurance-maladie celle-là même qui est exclue de la base de calcul pour établir le coût de la vie, a explosé. Comme pour toute augmentation de coûts, ce sont les personnes avec les moins bons salaires qui en souffrent le plus. À l’Université, les doctorant.e.s FNS et les assistant.e.s diplômé.e.s font parties de ces personnes pour qui les salaires peinent à couvrir les frais quotidiens. Contraint.e.s de vivre avec le même salaire dans un environnement qui devient de plus en plus cher, la paupérisation commence à grignoter les premiers échelons de l’Université.

Pour contrer cette tendance, deux solutions s’imposent : l’augmentation des salaires, simple et efficace, ou une participation de l’employeur.euse à certains frais, comme ceux de l’assurance-maladie. Rappelons que cette participation est une pratique courante dans certaines professions. Ainsi, certaines conventions collectives suisses prévoient une participation de l’employeur.euse aux frais d’assurance des employé.e.s et de leurs enfants (notamment la convention collective de l’horlogerie de 2007). Si les professeur.e.s et autres titulaires à postes pérennes ne sont pas à plaindre d’un point de vue salarial, ces quelques centaines de francs par mois seraient plus que bienvenues pour les employé.e.s les moins bien payé.e.s de l’UNIL, PAT ou CI confondus.

L’année en cours sera jalonnée d’objets politiques liés à la thématique du pouvoir d’achat. ACIDUL estime donc le moment opportun pour ouvrir le débat sur la question des salaires et sur celle des frais d’entretien des chercheur.euse.s. Les Suisses seront ainsi appelé.e.s à se prononcer sur l’introduction d’un salaire minimum de 4’000 CHF le 18 mai prochain (lien), et prochainement sur la mise en place d’une caisse maladie publique (lien). Quant aux Vaudois.e.s, ils.elles sont sollicité.e.s en ce moment même pour signer deux initiatives populaires, l’une pour un remboursement des frais dentaires (lien), l’autre pour alléger les primes d’assurance-maladie (lien). Autant d’approches révélatrices d’un même problème : les frais quotidiens sont trop importants par rapport au montant des salaires !

Pour ces raisons, ACIDUL estime qu’il est temps de revendiquer une augmentation salariale pour les chercheur.euse.s de l’Unil, et considère que le mouvement initié par nos collègues et le lancement de leur pétition est une occasion à saisir. C’est pourquoi nous soutenons cette pétition et vous encourageons à la signer.

Signalons encore qu’il en va de la qualité de la recherche à l’université de favoriser les conditions de travail de ses chercheur.euse.s débutant.e.s. Le monde de la recherche se doit d’offrir des conditions de travail permettant de garantir une recherche de qualité et des individus motivés. C’est pourquoi nous espérons que l’Université et le Conseil d’Etat entreront en matière sur cette démarche.

 >>> cliquez ici pour signer la pétition en ligne

Foreign researchers caught unexpectedly by steep increase in the cost of Swiss health insurance

ACIDUL would like to disperse the news about a legal change concerning the insurance requirements for foreign researchers and doctoral students in Switzerland. Until now, these researchers covered by foreign health insurance could obtain an exemption to the Swiss insurance requirement because, according to the provenances of LAMal (law concerning National health insurance), these foreign insurances were approved as equivalent. This situation changed as of January 1, 2014.  In effect, even though the canton did not revoke the equivalency of these foreign insurances, it discontinued the exemption for those whose brut salary exceeds 3,500 CHF/month or an employment (activité) over 50%. However, it seems that certain expatriates in government and diplomatic sectors can continue to benefit from these exemptions.

This was a motion put forth through national conseiller Christophe Darbellay, elected in 2012 to the federal parliament, which will interfere with the daily lives our foreign colleagues. It was in the name of “the principle of unity,” underlying the law concerning obligatory health insurance, through which Darbellay asked for the repeal of an amendment to OAMAL. Until now, this amendment offered the possibility for foreign teachers, students, and researchers to have an exception to the obligation to be affiliated with a Swiss insurance. Now it no longer exists.

Henceforth, foreign researchers have no other choice than to subscribe to a Swiss insurance. Now, these few hundred extra francs that are required each month to ensure medical coverage are a problem for young researchers, who are already find themselves financially precarious in their current employ.

In order to attempt to find a solution to this situation, certain researchers at UNIL have organized themselves. They have formed a Facebook page (here) attempting to share information on the issue, and they have decided to fight to improve not only their situation, but that of all researchers at UNIL, foreign and Swiss. Solutions exist. In certain private companies, employers contribute to the cost of the insurance for their employees. In another example, the researcher organization at EPFL has negotiated more financially advantageous conditions for a collective insurance, from which they can all benefit.

These solutions, if they are possible, require that a maximum number of people mobilize themselves on this topic. This signifies equally that they must be informed about the situation, which is actually not the case. In fact, ACIDUL finds it deplorable that the persons concerned themselves haven’t been directly informed of the legislative change, and thus find themselves caught in this situation unexpectedly. We regret above all that the “principle of unity” an important and fundamental ideal, has been applied with a focus on non-permanent employment at the lower earning scale, and we think that it’s time to apply this idea equally in a vertical manner; that is to say, aiding in the cost of health for those people who carry the most weight at UNIL.

ACIDUL relays the information of this movement and supports the efforts of this group of researchers. Don’t hesitate to turn to one another for more detailed information.

For more info:

–> Facebook page of the researchers group

–> Site for the Canton of Vaud

–> changes to the health insurance laws

–> Motion of Darbellay

LAMal, fin du régime d’exception pour les chercheur.euse. étranger.ère.s.

ACIDUL se fait l’écho d’un changement de disposition concernant les prestations LAMal des chercheur.euse.s étrangers.ère.s en Suisse. Jusqu’à présent, ceux.celles qui souscrivaient à une assurance maladie étrangère étaient dispensés.ées de l’obligation de souscrire à une assurance Suisse puisque, selon les dispositions de la LAMal (Loi sur l’assurance maladie), ces assurances étaient considérées équivalentes. La situation a cependant changé depuis le 1er janvier 2014. En effet, même si le canton ne remet pas en question l’équivalence de ces assurances sur le marché Suisse, il n’accepte leur utilisation que si le revenu du preneur d’assurance ne dépasse pas un niveau de 3500 francs et à un maximum de 50% d’activité. Par contre, certains expatrié.es des secteurs gouvernementaux et diplomatique semblent pouvoir continuer à profiter des exemptions à LAMal. C’est une motion du Conseiller national Christophe Darbellay, déposée en 2012 au parlement fédéral, qui va chambouler le quotidien de nos collègues étrangers. Au nom du « principe de solidarité » qui anime la Loi sur l’assurance maladie obligatoire, celui-ci a en effet demandé à ce que l’amendement de l’ordonnance sur l’assurance maladie (OAMAL), qui offrait jusqu’ici la possibilité aux enseignant.e.s et étudiant.e.s étranger.ère.s de déroger à l’obligation de s’affilier à une assurance Suisse, soit tout simplement abrogé. Dorénavant, les chercheur.euse.s étrangers.ère.s n’ont donc d’autres choix que de souscrire à une assurance suisse. Or, ces quelques centaines de francs qui sont nécessaires chaque mois pour s’assurer une couverture médicale sont un problème pour les jeunes chercheur.euse.s, déjà relativement précarisé.e.s dans leurs conditions de travail. C’est pour tenter de trouver une solution à cette situation que certain.e.s de ces chercheur.eure.s de l’UNIL s’organisent. Ils ont notamment créé une page Facebook (à voir ici) pour tenter d’informer sur la situation et ont décidé de lutter pour améliorer non seulement leur situation, mais celle de tout le Corps Intermédiaire de l’UNIL, étranger.ère.s et Suisses. Des solutions existent. Ainsi, dans certaines entreprises privées, l’employeur participe aux frais de l’assurance pour ses employés. Autre exemple, le Corps Intermédiaire de l’EPFL négocie des conditions collectives d’assurance qui permettent de bénéficier d’avantages financiers. Ces solutions, si elles sont possibles, nécessitent qu’un maximum de personnes se mobilise sur cette thématique. Cela signifie également qu’elles doivent être informées de la situation, ce qui n’est actuellement pas le cas. De fait, ACIDUL déplore que les personnes concernées n’aient même pas été directement informées du changement de législation et se soient ainsi fait prendre de court. Nous regrettons surtout que le « principe de solidarité », idée forte et fondatrice, s’applique en priorité à des emplois non stabilisés au bas revenus et pensons qu’il est temps qu’il s’applique également de manière verticale, c’est-à-dire en soulageant les personnes sur qui les frais de la santé pèsent le plus fort au sein de l’UNIL. ACIDUL se fait le relais de ce mouvement et soutient les démarches de ce groupe de chercheur.euse.s. N’hésitez pas à vous tourner vers eux pour de plus amples informations. Pour plus d’infos : –> lien vers la page Facebook du groupe de chercheur.euse.s: –> lien page sur les prestations d’assurances du Canton de Vaud –> lien vers la modification de l’ordonnance sur l’assurance maladie –> lien vers la motion Darbellay

Lutter contre la fraude scientifique (2)

Nous avons également pris connaissances du site web « responsable.unige.ch ». Ce site réunit des outils et des témoignages pour lutter contre la fraude scientifique et le plagiat. Il est alimenté par toutes les personnes qui se sentent concernées par la thématique, qu’il s’agisse d’étudiant.e.s, mais aussi de chercheurs.euses. Ce site collaboratif, mené par la Prof. Michelle Bergada (Faculté des Sciences Economiques et Sociales de l’Université de Genève) est une véritable mine d’informations utiles pour se défendre et anticiper les abus. À long terme, l’objectif est de conduire à une évolution des pratiques comme des mentalités dans le domaine de la recherche.

Le site édite notamment une newsletter de bonne qualité. Nous vous encourageons à vous y abonner. Enfin, ce mois-ci, un sondage est réalisé dans le but de recueillir des témoignages et avis concernant le plagiat. Nous vous encourageons grandement à vous inscrire et à y participer.

Lien vers: responsable.unige.ch

Lutter contre la fraude scientifique (1)

Nos délégué.e.s à la Commission de la recherche nous ont rapporté une astuce intéressante pour lutter contre l’attribution illégitime d’un travail de recherche par un tiers. Selon le vice-recteur à la recherche M. Moreillon, il est possible d’utiliser le serveur académique de l’UNIL (dit SERVAL), et les dates de sauvegardes successives, pour prouver être le.la premier.ère auteur.e d’un travail scientifique. Utile dans l’éventualité d’une réappropriation par un.e professeur.e par exemple.

>>> www.unil.ch/serval

Augmentations salariales pour doctorant.e.s et post-docortant.e.s FNS

Le FNS vient de publier un nouveau barème des salaires qui va augmenter significativement le revenu des doctorant.e.s, et possiblement celui des post-doctorant.e.s, qui dépendent des subsides du Fonds national de la recherche.

Pour les post-docorant.e.s, il s’agit d’une augmentation générale de la fourchette salariale au sein de laquelle les institutions peuvent fixer les salaires de leurs collaborateurs.trices. Une augmentation des salaires de tou.te.s les post.doctorant.e.s de l’UNIL n’est donc pas garantie, hormis pour ceux.celles qui sont en dessous du barème minimal nouvellement fixé. ACIDUL va rester attentive aux implications de ces changements pour les chercheurs.euses de l’UNIL, et vous tiendra informé.e.s.

Pour les doctorant.e.s, les choses sont beaucoup plus simples. L’augmentation entrera en vigueur en janvier prochain pour des montants connus et substantiels: 420.- d’augmentation mensuelle en première année, 295.- en deuxième année et 170.- en troisième année (montants bruts). ACIDUL se réjouit de cette nouvelle. Il était temps que les salaires de nos collègues doctorant.e.s FNS soient enfin revus à la hausse.

Le détail de ces modifications salariales est à lire ici

Action cahiers des charges 2013 !

Un.e doctorant.e a le droit de changer de directeur ou directrice de thèse si la relation se passe mal.

L’UNIL demande à ce que 50% du temps de travail d’un-e assistant-e au minimum soit assigné à sa thèse.

Un.e doctorant.e peut demander en tout temps l’établissement d’un certificat de travail.

 Le saviez-vous?

ACIDUL, l’association du corps intermédiaire de l’Université de Lausanne, vous invite à venir boire un verre, discuter et poser vos questions sur vos conditions de travail!

Nous tiendront des stands dans les couloirs des différents bâtiments: venez faire connaissance et amenez votre cahier des charges!

Nous souhaitons collecter des exemples de cahiers des charges afin de travailler sur une meilleure définition de ceux-ci. Quelles tâches peut-on demander à un.e doctorant.e? Combien de temps l’encadrement d’un séminaire prend-il? Quelles sont les différences entre les Facultés? Les cahiers des charges sont à l’heure actuelle souvent relativement flous. Il est temps de se pencher sérieusement sur cette question afin d’améliorer les conditions de travail du corps intermédiaire de l’Université de Lausanne.

Amenez votre cahier des charges que nous pourrons scanner sur le stand afin de participer à la mise en place d’une base de données de travail!

  • Anthropole        lundi 10 juin      16h-18h (au troisième étage)
  • Internef              mardi 11 juin     16h-18h (au rez, près de la cafétéria)
  • Batochime        lundi 17 juin       16h-18h (au rez)
  • Geopolis           jeudi 13 juin       16h-18h  (au deuxième étage)
  • Génopode        mardi 18 juin      16h-18h (au rez)

Au plaisir de vous voir nombreuses et nombreux à cet événement, bien cordialement,

Le comité d’ACIDUL

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Réforme LPP, nouvelle assemblée générale

Le plan Conseil d’Etat-FSF concernant la Caisse de pensions de l’Etat de Vaud est entré dans sa phase parlementaire; le projet de loi est examiné en ce moment par la commission du Grand Conseil. Cela signifie, pour nous salarié.e.s de l’UNIL, une nouvelle phase de la mobilisation. C’est pourquoi nous vous invitons à participer à une

Assemblée générale de la fonction publique SUD-SSP mercredi 15 mai, à 20h00 au Buffet de la Gare de Lausanne (Salle des Cantons)

Vous trouverez une invitation détaillée, une affichette d’appel à cette AG ainsi que le dernier tract du SSP sur la CPEV sur le site du Syndicat des services publiques (SSP) www.ssp-vaud.ch

Pour info,  il semble que l’UDC et le PLR formulent déjà de vives critiques sur ce plan présenté au Grand conseil. La FSF, pour sa part, a promis de se mobiliser à nouveau si le moindre pas en arrière était fait. La situation est donc particulièrement critique et intéressante, preuve que la lutte politique doit encore se poursuivre.

Indemnité de grève – Syndicat SSP

Voici une marche à suivre du Syndicat des services publiques (SSP) pour les personnes qui ont participé à la grève du 15 mars à l’UNIL et ont déclarées leurs heures de grèves. Les membres du SSP peuvent en effet recevoir une indemnité de la part du syndicat.

« Chères et chers Collègues,

Vous avez en principe reçu votre fiche de salaire contenant la déduction pour les heures grevées le 11 mars dernier, dans le cadre de la lutte contre la réforme de la Caisse de pensions de l’Etat de Vaud.

Peut-être le savez-vous déjà, le SSP possède un fonds de grève qui permet d’indemniser les membres qui ont décidé d’agir et de faire grève. Veuillez prendre note que le montant maximum du remboursement s’élève à Frs. 146.40.

Pour bénéficier de l’indemnité, veuillez procéder de la manière suivante:

  1. Envoyez-nous, d’ici au 30 juin 2013, une copie de la fiche de salaire mentionnant la retenue de salaire, par la poste ou par courrier électronique à l’adresse suivante: vaud@ssp-vpod.ch
  2. Indiquez votre n° de membre SSP
  3. Indiquez un n° de compte bancaire ou postal sur lequel nous vous rembourserons la somme prévue.

Nous effectuerons les remboursements dans le courant de l’été. En vous remerciant pour votre collaboration et votre patience. Meilleurs messages

Annabel Glauser, secrétaire syndicale SSP Vaud

Syndicat des services publics – Région Vaud, Av. Ruchonnet 45  –  CP 1324, 1001 Lausanne, Secrétariat: 021 341 04 10 /  Fax: 021 341 04 19, vaud@ssp-vpod.chhttp://www.ssp-vaud.ch«