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Alors que l’inclusion scolaire est devenue centrale dans les politiques éducatives, les futur·es enseignant·es se sentent mal préparé·es face aux besoins spécifiques des élèves. Leurs témoignages mettent en lumière les failles structurelles, des incertitudes, mais aussi une réelle volonté de bien faire – pour peu qu’on leur en donne les moyens.
Alors que la sexothérapie reste en grande partie structurée par des normes cis-hétéronormatives, des personnes non cisgenres et non monogames en Suisse romande développent des dispositifs communautaires alternatifs et revendiquent des approches plus inclusives.
À partir de quand considère-t-on qu’un·e élève est en situation de handicap visuel ? Cette enquête montre que ce sont souvent les outils – canne blanche, logiciel spécialisé, accompagnant·e – qui déclenchent cette perception. Bien plus que de simples aides, ces dispositifs façonnent les représentations et les pratiques d’inclusion des enseignant·e·s “Lors de l’atelier de recherche qui a eu lieu lors du semestre de printemps 2025 sous la responsabilité de Kevin Toffel, Daniela Cerqui, Mathilde Krähenbühl et Chloé Schaer, une vingtaine d’étudiant·e·s ont eu l’occasion d’interroger les représentations en lien avec le handicap visuel chez l’enfant et la scolarisation de ce dernier.”
Sur l’Avenue de France à Lausanne, des étudiantes en sciences sociales ont interrogé des commerçant·es sur leurs perceptions du handicap visuel. Entre bonne volonté, méconnaissance et accessibilité limitée, l’enquête révèle une inclusion encore fragile, reposant davantage sur l’intuition que sur une réelle sensibilisation ou formation.
Comment faire courir, sauter ou dribbler un enfant qui ne voit pas ? À l’école, l’éducation physique reste l’un des espaces les plus difficiles à rendre inclusifs pour les élèves en situation de handicap visuel. Entre idéal théorique et manque de moyens, enquête sur les représentations et pratiques des enseignant·es.
Lors de l’atelier de recherche qui a eu lieu lors du semestre de printemps 2025 sous la responsabilité de Kevin Toffel, Daniela Cerqui, Mathilde Krähenbühl et Chloé Schaer, une vingtaine d’étudiant·e·s ont eu l’occasion d’interroger les représentations en lien avec le handicap visuel chez l’enfant et la scolarisation de ce dernier. Dans le présent travail, les mères n’ayant que très peu de connaissances du handicap visuel, l’analyse s’est portée sur leurs représentations de l’école inclusive.
Lors de l’atelier de recherche qui a eu lieu lors du semestre de printemps 2025 sous la responsabilité de Kevin Toffel, Daniela Cerqui, Mathilde Krähenbühl et Chloé Schaer, une vingtaine d’étudiant·e·s ont eu l’occasion d’interroger les représentations en lien avec le handicap visuel.
Dans la politique lausannoise nombreux sont les objets à traiter, certains plus représentés que d’autres prennent plus de place au sein des débats. Mais qu’en est-il des causes qui concernent des groupes marginalisés ? Comment la politique lausannoise perçoit l’inclusivité des personnes en situation de handicap et comment celle-ci les invisibilise ?
La montée des nouvelles narratives fascistes et la polarisation politique frappent l’Europe, écrasant les initiatives artistiques qui cherchent à donner une voix aux plus vulnérables. À travers cette modeste ethnographie, j’analyserai le rôle de la photographie en tant qu’outil de lutte pour la visibilité et la reconnaissance, ainsi que l’impact des discours nationalistes et leurs répercussions politiques sur un projet de réinsertion sociale par l’art dans le canton de Vaud.
Cet article analyse les styles de vies qui influencent les goûts et dégouts d’un jeune habitant du quartier sous-garde à Lausanne. En s’appuyant sur l’essai de Sylvie Tissot « Anything but Soul Food » ainsi qu’un entretien ethnographique, nous chercheront à comprendre comment les choix de vie de ces populations sont influencés directement par leur environnement.
Les émotions interviennent quotidiennement dans nos vies et peuvent parfois être difficiles à gérer, notamment sur le long terme. Le rapport aux émotions et à leur expression n’est pas qu’une question individuelle mais est indéniablement lié à la socialisation (ethnique, de genre ou encore professionnelle). Dans le monde du travail il existe des règles sociales auxquelles il est quasiment impossible d’échapper. Mais qu’en est-il dans les professions à forte charge émotionnelle telle que policier·ère ?
La Révolution des Œillets de 1974 a transformé le Portugal. Découvrez l’état des inégalités de genre des années 70 et les luttes menées par les femmes engagées dans les collectifs MDM, UMAR, et MLM, et comment ces combats ont façonné l’égalité de genre dans une nouvelle démocratie.