
Voyage à travers le tantrisme
Maîtresse assistante à la section de langues et civilisations slaves et de l’Asie du Sud, Noémie Verdon explore le tantrisme dans un petit livre éclairant.
Maîtresse assistante à la section de langues et civilisations slaves et de l’Asie du Sud, Noémie Verdon explore le tantrisme dans un petit livre éclairant.
Robert Badinter a rédigé une pièce évoquant l’histoire du ghetto de Varsovie, jouée à Lausanne (31 mars 2023) et suivie d’une discussion avec, notamment, le professeur Jacques Ehrenfreund.
Les paradoxes de la justice pénale internationale selon le professeur Damien Scalia dans «Génocidaire(s), éditions Dalloz, 2023
Depuis l’été dernier, la doctorante Karine Meylan dirige le Musée romain de Lausanne-Vidy. Conversation autour de l’archéologie, de la pop culture, de ses projets pour l’institution et de la médiation culturelle et scientifique.
Une passionnante correspondance entre Freud et Marie Bonaparte sur fond d’intimité amicale, psychanalytique et de montée du nazisme.
Rencontre avec le professeur Rémy Amouroux, à qui l’on doit de pouvoir découvrir la correspondance intégrale entre Sigmund Freud et la princesse Marie Bonaparte.
Avec leur «Bertil Galland, vagabond des savoirs», Jean-Philippe Leresche et Olivier Meuwly signent un ouvrage sur le patron – on verra en quoi – et livrent un intense aperçu du canton de Vaud poétique et politique.
Jean-Philippe Ceppi, producteur de l’émission « Temps présent », vient de terminer une thèse sur l’histoire de la caméra cachée dans le journalisme de télévision.
Interview du diplomate et géographe français Michel Foucher au sujet de la guerre en Ukraine dans une perspective démocratique et européenne.
Une exposition virtuelle présente depuis le 30 juin la découverte stéréoscopique de photographies alpines du début du XXe siècle.
Un juif israélien spécialiste du Coran, rare équation incarnée par Meir Bar-Asher, professeur de l’Université hébraïque de Jérusalem, doctorat honoris causa de l’UNIL lors du Dies academicus 2022. Rencontre.
Patrick M. Michel reçoit le Prix de l’Université des mains du recteur Frédéric Herman.