La mort dévoilée par la science de la décomposition des corps humains
La taphonomie humaine étudie la décomposition des corps humains après leur décès. Le professeur Vincent Varlet parle de sa pratique dans ce podcast entre la vie et la mort.
La taphonomie humaine étudie la décomposition des corps humains après leur décès. Le professeur Vincent Varlet parle de sa pratique dans ce podcast entre la vie et la mort.
À travers sa thèse, Liliana Wuffli-Wolf a imaginé un outil pour tenter de repérer plus facilement les œuvres d’art inauthentiques.
Olivier Ribaux, professeur à l’École des sciences criminelles de l’UNIL, nous dévoile les coulisses de la traçologie, ou l’étude de la trace sur des scènes de crime dans ce dernier podcast.
Certaines réalités n’ont pas d’âge. Les violences communautaires envers les personnes âgées sont peu documentées, mais existent bel et bien.
Dans son dernier article, l’experte en science forensique Céline Weyermann remet en question la quantité de publications et son effet sur la qualité de l’information.
À l’UNIL, la professeure Meike Ramon étudie les facultés des superphysionomistes et leur application pour l’investigation criminelle. Elle met en avant leur complémentarité avec les outils d’intelligence artificielle.
Les paradoxes de la justice pénale internationale selon le professeur Damien Scalia dans «Génocidaire(s), éditions Dalloz, 2023
Ahmed Ajil recevra le Prix de la Société académique vaudoise pour sa thèse sur la mobilisation dans le monde arabe. Portrait.
Les performances et les enjeux de différents systèmes ont été testés par Maëlig Jacquet lors de son doctorat en sciences criminelles.
Reportage dans le Laboratoire de criminalistique appliquée à la pollution de l’environnement.
Explorer les collections Reiss ou découvrir les globes de Mercator depuis son canapé grâce au portail des collections numériques de l’UNIL.
Ahmed Ajil étudie les mobilisations et les violences politico-idéologiques en lien avec le monde arabe. Dans le cadre de sa thèse à l’École des sciences criminelles, il est allé à la rencontre de djihadistes, d’anciens d’Al-Qaïda, mais aussi de simples militants.