Narrateur

Par Sylvie Patron

Les «théories pan-narratoriales» (pan-narrator theories), ainsi nommées par leurs adversaires théoriques (voir Köppe et Stühring 2011), regroupent toutes les théories qui se basent sur l’axiome de l’existence d’un narrateur dans tous les récits et d’un narrateur fictionnel dans tous les récits de fiction, à commencer par la narratologie, depuis son avènement dans le contexte de la poétique structuraliste et dans la plupart de ses versions passées et présentes (voir en particulier Barthes 1981 [1966]; Todorov 1981 [1966]; Genette 2007 [1972], 2007 [1983]; Bal 1985, 2017 [1978]; Stanzel 1984 [1979]; Prince 2012 [1982]; Rimmon-Kenan 2002 [1983]; Chatman 1990; les représentants de la narratologie rhétorique contemporaine). Les «théories du narrateur optionnel» (voir Patron 2016 [2009]; Köppe et Stühring 2011) considèrent la deuxième partie de cet axiome comme une hypothèse et avancent une série d’arguments à l’encontre de cette hypothèse. Pour les représentants ou représentantes de ces théories, on ne peut parler d’un narrateur (ou, implicitement, d’une narratrice) fictionnel(le) que dans le cas où l’auteur ou l’autrice «crée» (construit, représente) un narrateur (ou une narratrice) dans une démarche qui peut être considérée comme intentionnelle. Il s’agit à l’origine de théories destinées à rendre compte de la narration dans les romans ou les nouvelles (le récit de fiction littéraire), mais il existe également des versions de la théorie du narrateur optionnel portant sur d’autres formes de fiction (cinématographiques, graphiques, etc.) et d’autres formes de récits littéraires, antérieures au roman moderne (voir en particulier Hamburger 1986 [1957, 1968]; Kuroda 2022 [articles de 1973, 1974, 1975]; Banfield 1995 [1982], 2018 [articles postérieurs à 1982]; Bordwell 1985; Spearing 2005; Patron 2016 [2009], 2015; Thon 2016; Patron [dir.] 2022).

Les théories du narrateur optionnel prennent au sérieux la distinction entre l’auteur et le narrateur, sans laquelle «aucun concept de narrateur n’est possible» (Rothschild 1990: 23[1]), tandis que certains représentants ou représentantes des théories pan-narratoriales brouillent régulièrement cette distinction. Elles ont une représentation claire de ce que signifie «fictionnel» dans leurs théories. Elles réactivent, plus ou moins consciemment, le concept originel de narrateur ou de narratrice, indissociable du mode de narration dans le récit de fiction à la première personne, en admettant la possibilité de certaines extrapolations et, dans certaines versions, en en faisant un concept transmédial.

Les théories pan-narratoriales

La narratologie de Gérard Genette, parangon des théories pan-narratoriales, s’appuie sur une «épistémologie du minimum» (selon l’acception de Jean-Claude Milner): un nombre minimal d’axiomes exprimés par un nombre minimal de concepts primitifs. Le premier axiome de la narratologie genettienne est relatif à l’histoire, c’est-à-dire au contenu du récit: il y a une histoire, distincte du récit dans lequel elle se manifeste (l’histoire étant minimalement définie par la présence d’une succession événementielle). Cet axiome se fonde sur les discordances, connues de longue date dans la théorie et l’analyse du récit, entre l’ordre des événements de l’histoire et l’ordre dans lequel ces événements sont présentés au lecteur ou à la lectrice. Le deuxième axiome est relatif à l’énonciation du récit: le récit est toujours le produit de l’acte d’énonciation de quelqu’un à destination de quelqu’un d’autre, ce que la narratologie appelle la «narration». Le troisième axiome ne concerne que le récit de fiction: il pose que, dans ce cas, l’histoire et la narration sont fictionnelles (exactement «ficti[ves]» dans Genette 2007 [1972]: 16, ce qui signifie en contexte: immanentes au récit et sans attestation dans le monde réel de référence). Au troisième de ces axiomes est lié le concept de narrateur fictionnel. Genette fait reposer sa théorie sur l’évidence des axiomes et des concepts primitifs, et ne donne aucune définition du narrateur (qui est introduit dans le texte, premièrement par la référence au narrateur proustien, deuxièmement dans une citation de Todorov 1981 [1966], qui fait autorité). Le terme «narrateur» ne figure pas non plus dans l’index des matières.

Dans la théorie pan-narratoriale telle qu’elle est emblématiquement représentée dans la théorie de Genette, on se donne le concept de narrateur, ou de narrateur fictionnel, qui fonctionne comme un primitif indéfinissable. Il est inséparable du concept de récit, ou de récit de fiction, qu’on peut considérer comme étant le même concept exprimé autrement. Les distinctions comme la distinction genettienne entre narrateurs «homodiégétique» (présent comme personnage dans l’histoire qu’il raconte) et «hétérodiégétique» (absent de l’histoire qu’il raconte) sont des distinctions secondaires, qui ne remettent pas en cause la conception moniste du récit de fiction.

Les théories immédiatement postérieures à celle de Genette soit sortent du cadre défini pour les théories pan-narratoriales (voir Chatman 1978, qui ne se donne pas le concept de narrateur, mais s’interroge sur son sens, d’où résultent des conditions d’usage pertinentes), soit, beaucoup plus fréquemment, reprennent ce cadre théorique en lui apportant parfois des éléments de clarification. C’est le cas dans cette citation de Shlomith Rimmon-Kenan:

La narration peut être considérée à la fois comme réelle et comme fictionnelle. Dans le monde empirique, l’auteur est l’agent responsable de la production du récit et de sa communication. Cependant, le procès de communication empirique est moins pertinent pour la poétique du récit de fiction que sa contrepartie dans le texte. Dans le texte, la communication implique un narrateur fictionnel transmettant un récit à un narrataire fictionnel. (Rimmon-Kenan 2002 [1983]: 3)

Dans le chapitre qu’elle consacre à la narration, Rimmon-Kenan réserve le terme «narrateur» au narrateur fictionnel du récit de fiction. En revanche, elle ne dissipe pas la confusion présente dans la citation précédente entre le narrateur comme entité interne ou immanente au récit («sa contrepartie dans le texte») et le narrateur comme entité fictionnelle («un narrateur fictionnel transmettant un récit à un narrataire fictionnel»). Il est caractéristique des théories pan-narratoriales des années 1970 et du début des années 1980 que leur usage des termes «fictif» ou «fictionnel» ne soit articulé sur aucune théorie de la fiction.

La simplicité du modèle dans les théories pan-narratoriales est probablement une des raisons de leur succès quantitatif, particulièrement voyant, dans l’édition, les milieux universitaires et scolaires, etc. Il ne peut cependant masquer le fait que ces théories ont suscité d’emblée des oppositions et que la thèse pan-narratoriale a été contestée, voire falsifiée, dans de nombreux ouvrages et articles (voir la bibliographie de Patron [dir.] 2022).

Les théories du narrateur optionnel

Les théories alternatives aux théories pan-narratoriales, qui sont donc des théories du narrateur (ou, implicitement, de la narratrice) optionnel(le), sont d’abord le fait de linguistes, formés par la grammaire générative transformationnelle et s’appuyant sur un tout autre modèle de la science que le modèle minimaliste structuraliste («l’épistémologie de la falsification», selon Milner à nouveau). Ann Banfield falsifie la proposition de Genette selon laquelle «[e]n tant que le narrateur peut à tout instant intervenir comme tel dans le récit, toute narration est, par définition, virtuellement faite à la première personne» (Genette 2007 [1972]: 255), à partir du cas d’observation singulier que constituent les phrases du style indirect libre à la troisième personne et au passé, ou phrases qui «représentent la subjectivité de troisième personne» (voir Banfield 1995 [1982]: notamment chap. 5; Patron 2016 [2009]: chap. IX; Patron, 2022a: 18). Pour leur usage du terme «narrateur», pris au sens d’un «je-origine» fictionnel (ou, implicitement, fictionnelle), Banfield et S.-Y. Kuroda se réfèrent à la théorie de Käte Hamburger:

Ce n’est que lorsque le poète narrant «crée» réellement un narrateur, à savoir le je-narrateur [Ich-Erzähler] du récit à la première personne [Ich-Erzählung], qu’on peut parler de ce dernier comme d’un narrateur (fictif). (Hamburger 1986 [1957, 1968]: 128, cité dans Banfield 1995 [1982]: 279[2])

Certaines contestations des théories pan-narratoriales viennent de la théorie du cinéma (David Bordwell, Beryl Gaut, Paisley Livingston, Katherine Thomson-Jones: voir la bibliographie de Patron [dir.] 2022) et, plus récemment, de la narratologie transmédiale. Jan-Noël Thon partage avec les théoriciens du cinéma l’idée que «tout narrateur que nous souhaiterions décrire comme une stratégie représentationnelle des œuvres narratives dans les différents média (et non uniquement dans les films) devra être “perceptible” ou plutôt “compréhensible” par les récepteurs de ces œuvres (et non uniquement par certains critiques fortement investis dans le fait de le “percevoir”, en raison de leurs engagements théoriques antérieurs)» (2016: 130). Thon propose de définir les narrateurs (et, implicitement, les narratrices) comme des «personnages narrants» auxquels les récepteurs et réceptrices peuvent attribuer cette sorte de représentation «narratoriale» qui prend prototypiquement la forme de la narration verbale, que ce soit dans les films, les bandes dessinées ou les jeux vidéo (voir 2016: 165).

D’autres théoriciens ou théoriciennes fondent leurs contestations sur des considérations relevant de la théorie de la fiction et/ou de la théorie de l’interprétation. Richard Walsh, par exemple, souligne que

[l]a fonction du narrateur [dans les théories pan-narratoriales] est de permettre que le récit soit lu comme quelque chose de connu plutôt que comme quelque chose d’imaginé, quelque chose de rapporté comme fait plutôt que de raconté comme fiction. […] Mais un tel point de vue se heurte à l’obstacle suivant: certaines choses que le narrateur est supposé «connaître» sont de clairs indices du statut fictionnel du récit, et donc contredisent la raison qu’il peut y avoir à poser un tel agent. (Walsh 2007 [1997]: 73)

D’autres pointent les «questions idiotes» (silly questions, Walton 1990: 174-183) et les «interprétations étranges» ou «inquiétantes» (strange interpretations, disquieting interpretations, Andersson et Sandberg 2018), des interprétations que les lecteurs ou lectrices ordinaires considéreraient comme forcées, erronées, sans lien et parfois même contradictoires avec l’œuvre à commenter, entraînées par les théories pan-narratoriales. À l’argument selon lequel les représentants ou représentantes des théories pan-narratoriales «présentent généralement des interprétations judicieuses et édifiantes» des récits de fiction, Greger Andersson et Tommy Sandberg répondent que cela s’explique par le fait qu’ils «n’appliquent pas leur théorie de façon rigoureuse» (Andersson et Sandberg 2018: 242).

Sylvie Patron propose une synthèse de ces contestations (d’abord linguistiques, ou logico-linguistiques avec Hamburger: voir Patron 2016 [2009], 2015, puis de formes plus diversifiées: voir Patron 2015: chap. 8, 2022a). Elle établit que deux concepts de narrateur, et non un seul, sont à l’origine du concept de narrateur dans les théories pan-narratoriales (voir Patron 2016 [2009]; 2022b; 2023). Le premier concept de narrateur a été introduit pour rendre compte du mode de narration dans le roman-Mémoires, ou roman à la première personne au sens originel du terme («concept originel de narrateur»). Il est à l’origine du narrateur «homodiégétique» de la narratologie genettienne et post-genettienne. Le second concept de narrateur est né dans le contexte de la controverse allemande sur les intrusions d’auteur (ou, implicitement, d’autrice) dans le récit de fiction à la troisième personne, à la fin du XIXe siècle. Il est à l’origine de l’«omni-narrateur» ou «archi-narrateur» des théories pan-narratoriales. C’est ce concept qui est mobilisé dans les déclarations apodictiques du type «il ne peut y avoir de récit sans narrateur» (Barthes 1981 [1966]: 24).

Les deux concepts résument des questions ou ensembles de questions très différents (ce qui autorise à parler de deux concepts différents ou à dire qu’entre les deux, il n’y a qu’une relation d’homonymie). Le concept originel de narrateur va de pair avec une conception dualiste ou différentialiste du récit de fiction, qui considère le récit de fiction à la première personne comme un cas particulier de récit de fiction. Le second concept de narrateur va de pair avec une conception moniste du récit de fiction: il n’y a qu’un seul modèle de récit de fiction, avec des distinctions secondaires (autrement dit, cette conception relègue la différence effective, empirique, entre les récits de fiction à la première et à la troisième personne, à un rang secondaire).

On peut aussi envisager les différences entre les deux concepts en disant que le premier est un concept empirique: il est le résultat d’observations, de données historiques et critiques; le second, en revanche, est un concept théorique: il ne prend sens que dans un cadre théorique donné. Le premier renvoie au narrateur (ou à la narratrice) en tant que «création» (construction, représentation) de l’auteur ou de l’autrice; le second est une «création» ou une élaboration de la théorie. Dans la première conception, le narrateur (ou la narratrice) n’est pas une fiction pour la théorie, c’est un objet empirique immédiat; dans la deuxième, le narrateur est une fiction théorique. Le premier narrateur est représenté dans le récit; le second n’a pas besoin d’être représenté, il peut être un narrateur «implicite» ou «par défaut» (Walsh 2007 [1997]: 78). Le premier est optionnel, est l’objet d’un choix auctorial; le second est une nécessité théorique de tout récit de fiction, qui précède et élimine la question des choix auctoriaux. Le premier admet une spécification en genre: il peut être un narrateur ou une narratrice; dans le cas du second, la différence de genre est suspendue, elle est sans pertinence. Le premier concept de narrateur se définit par l’articulation de plusieurs composantes fondamentales; le second répond à un besoin ou un ensemble de besoins théoriques, mais il est intrinsèquement pauvre (il a une extension maximale et une compréhension minimale). Le premier concept n’a jamais suscité de contestations dans la théorie; le second a été relativement long à s’implanter dans la théorie et, dès ce moment, a fait l’objet de contestations récurrentes.

La dualité des deux concepts est irréductible, et les théories pan-narratoriales sont grevées par des propositions mobilisant le deuxième concept qui sont parfois tellement générales qu’elles ne peuvent plus trouver d’applications dans la région d’origine du premier, ou qui sont invalidées par l’existence et les déterminations empiriques du premier.

Références en anglais

Andersson, Greger, & Sandberg, Tommy (2018), “Sameness versus Difference in Narratology: Two Approaches to Narrative Fiction”, Narrative, n° 26 (3), p. 241-261.

Bal, Mieke (1985, 2017 [1978]), Narratology: Introduction to the Theory of Narrative, Toronto, Toronto University Press, 4th ed.[3]

Bordwell, David (1985), Narration in the Fiction Film, Madison, University of Wisconsin Press.

Chatman, Seymour (1978), Story and Discourse: Narrative Structure in Fiction and Film, Ithaca, Cornell University Press.

Chatman, Seymour (1990), Coming to Terms: The Rhetoric of Narrative in Fiction and Film, Ithaca, Cornell University Press.

Köppe, Tilmann, & Stühring, Jan (2011), “Against Pan-Narrator Theories”, Journal of Literary Semantics, n° 40 (1), p. 59-80.

Prince, Gerald (2012 [1982]), Narratology: The Form and Functioning of Narrative, Berlin, Mouton, reprint. De Gruyter, “Janua Linguarum. Series Maior”.

Rimmon-Kenan, Shlomith (2002 [1983]), Narrative Fiction: Contemporary Poetic, London, Routledge, 2nd ed. “New Accents”.

Rothschild, Jeffrey M.  (1990), “Renaissance Voices Echoed: The Emergence of the Narrator in English Prose”, College English, n° 52 (1), p. 21-35.

Stanzel, Franz K. (1984 [1979]), A Theory of Narrative, C. Goedsche (trans.), Cambridge, Cambridge University Press.

Spearing, A. C. (2005), Textual Subjectivity: The Encoding of Subjectivity in Medieval Narratives and Lyrics, Oxford, Oxford University Press.

Thon, Jan-Noël (2016), Transmedial Narratology and Contemporary Media Culture, Lincoln, University of Nebraska Press.

Walsh, Richard (2007 [1997]), “Who Is the Narrator?”, Poetics Today, n° 18 (4), p. 495-513, rééd. sous le titre “The Narrator and the Frame of Fiction”, The Rhetoric of Fictionality: Narrative Theory and the Idea of Fiction, Columbus, Ohio State University Press, p. 68-85.

Walton, Kendall (1990), Mimesis as Make-Believe: On the Foundations of the Representational Arts, Cambridge, Harvard University Press.

Références en français[4]

Banfield, Ann (1995 [1982]), Phrases sans parole. Théorie du récit et du style indirect libre, C. Veken (trad.), Paris, Le Seuil.

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Barthes, Roland (1966, 1981), «Introduction à l’analyse structurale des récits», in L’Analyse structurale du récit (Communications, n° 8), R. Barthes (dir.), Paris, Le Seuil, «Points», p. 7-33.

Genette, Gérard (2007 [1972]), «Discours du récit. Essai de méthode», Figures III, Paris, Le Seuil, rééd. sous le titre Discours du récit, «Points».

Genette, Gérard (2007 [1983]), Nouveau Discours du récit, Paris, Le Seuil, rééd. à la suite de Discours du récit, «Points».

Hamburger, Käte (1986 [1957, 1968]), Logique des genres littéraires, P. Cadiot (trad.), Paris, Le Seuil.

Kuroda, S.-Y. (2022 [2012]), Pour une théorie poétique de la narration, C. Braconnier, T. Fauconnier & S. Patron (trad.), S. Patron (éd.), Paris, Armand Colin, rééd. Limoges, Lambert-Lucas.

Patron, Sylvie (2016 [2009]), Le Narrateur. Introduction à la théorie narrative, Paris, Armand Colin, rééd. sous le titre Le Narrateur. Un problème de théorie narrative, Limoges, Lambert-Lucas.

Patron, Sylvie (2015), La Mort du narrateur et autres essais, Limoges, Lambert-Lucas.

Patron, Sylvie (2022a), «Introduction», in S. Patron (dir.), La Théorie du narrateur optionnel. Principes, perspectives, propositions, Villeneuve d’Ascq, Presses universitaires du Septentrion, p. 11-39.

Patron, Sylvie (2022b), «Le narrateur: une approche historique et épistémologique», in S. Patron (dir.), La Théorie du narrateur optionnel. Principes, perspectives, propositions, Villeneuve d’Ascq, Presses universitaires du Septentrion, p. 111-130.

Patron, Sylvie (2023 [2022]), « Le narrateur », Vox Poetica, mis en ligne le 20 février 2023, URL: https://vox-poetica.com/t/articles/Patron2023.html.

Patron, Sylvie (dir.) (2022), La Théorie du narrateur optionnel. Principes, perspectives, propositions, Villeneuve d’Ascq, Presses universitaires du Septentrion.

Todorov, Tzvetan (1981 [1966]), «Les catégories du récit littéraire», in L’Analyse structurale du récit (Communications, n° 8), R. Barthes (dir.), Paris, Le Seuil, « Points », p. 131-157.

Pour citer cet article:

Sylvie Patron «Narrateur», Glossaire du RéNaF, mis en ligne le 19 mai 2025, URL: https://wp.unil.ch/narratologie/2025/05/narrateur/

Notes


[1] Je traduis toutes les citations.

[2] Je modifie sensiblement la traduction.

[3] La première édition de cet ouvrage est en français.

[4] Tous ces ouvrages et articles existent aussi en anglais.