Repenser la vie ensemble dans l’espace public de la Riponne.
Humansofpandemics est un espace visant à créer une forme d’agora numérique qui invite le public à témoigner et à s’emparer d’outils sociologiques afin de mener son enquête sur la pandémie.
Les femmes aiment lire des romans à l’eau de rose, les hommes préfèrent jouer aux jeux vidéo… Vraiment ? Y-a-t’il réellement une différence dans les goûts culturels des individus selon leur genre ? Si oui, cette différence est-elle innée, naturelle ? Selon les sciences sociales, la réponse est non.
Depuis 2017, les stratégies nationales s’accentuent pour inciter la publication en libre accès des résultats de la recherche publique. Cette reconfiguration éditoriale véhicule l’idée que les publications scientifiques sont des biens communs, appelés aussi des communs de la connaissance. Quels sont les enjeux de cette dénomination spécifique ?
A quoi pensez-vous lorsque vous lisez “déchets” ? Vous vous dites sûrement que ce sont des objets insignifiants. Détrompez-vous, comme le dit le proverbe, les déchets des uns sont les trésors des autres.
Alice Olivier a été invitée à présenter sa recherche sur les parcours atypiques des hommes qui s’orientent vers des métiers dits féminins. Leurs trajectoires professionnelles atypiques se révèlent être des laboratoires d’observation des normes de genre présentes dans des contexte professionnels spécifiques.
Mélanie Lallet, sociologue des médias et maître de conférences en Sciences de l’information et de la communication à l’Université de Nantes, a présenté son travail sur la fabrique des masculinités dans les dessins animés. Ainsi, les différents processus sociaux, comme l’éducation, le monde professionnel et dans notre cas les figures héroïques, alimentent l’image d’un « vrai » homme, un idéal à atteindre. Elle a montré l’évolution de divers types de masculinités représentés ainsi que la surreprésentation des personnages masculins dans les dessins animés.