Quelles sont les démarches pour un·e doctorant·e qui souhaite devenir assistant·e ?
La première possibilité et de consulter régulièrement les annonces de l’UNIL et de postuler dès qu’un poste vous intéresse. Vous pouvez aussi directement vous renseigner auprès de l’unité qui vous intéresse.
Un·e assistant·e est-elle ou il censé·e avoir un séminaire à charge ?
Rien ne s’oppose à ce qu’un·e assistant·e prenne la charge d’un séminaire, pour autant que son cahier des charges comprenne un poste correspondant clairement à cette tâche et représentant un pourcentage réaliste de son temps de travail, et que son rôle soit pleinement reconnu comme tel (on doit estimer qu’un séminaire représente une charge plus importante pour un·e assistant·e, novice en la matière, que pour un·e enseignant·e plus expérimenté·e).
De combien de temps dispose un assistant·e pour ses recherches personnelles ?
Un·e assistant·e dispose d’au moins 50% de son temps total pour ses recherches personnelles (thèse ou autre), école doctorale comprise. Son cahier des charges doit en faire clairement état. Ceci est valable aussi pour les premiers·ières assistant·e·s.
Est-ce que l’Université doit fournir un ordinateur, ou dois-je utiliser le mien ?
L’employeur est tenu de fournir les outils de production (art. 327, Code des obligations) ; aussi l’Université se doit-elle de mettre à disposition de chaque membre du corps intermédiaire un poste de travail avec un ordinateur.
Si un·e assistant·e part à l’étranger pour sa thèse, est-ce que ce temps est compté dans les cinq ans d’embauche ? Non, pour autant que le contrat d’assistant·e soit suspendu pour la période donnée.
Est-ce qu’un·e assistant·e qui a occupé d’autres postes d’assistanat dans d’autres universités (suisses ou non) pourra être engagé pour cinq ans à l’UNIL ? Oui. Ne sont comptées que les années d’assistanat à l’UNIL.
Est-ce que les fonds accordés par le FNS comptent dans les cinq ans ? Oui, la fonction de doctorant·e sur fonds externes (FNS ou autres) s’apparente sur ce point à celle d’assistant·e.