Les chercheures et chercheuses, se trompent…souvent. Et ce n’est pas grave.
C’est même plutôt normal: on émet une hypothèse, on la teste…et on la valide…ou pas.
Un peu comme quand on cherche un endroit inconnu sans carte. Si deux chemins s’offrent à nous, on va en tester un. Si c’est le mauvais, on revient sur ses pas pour tester l’autre.
A lire sur blogs.letemps.ch/nathalie-chevre