d’après Ödön von Horváth / mise en scène André Engel / Théâtre de Carrouge à Genève / du 26 novembre au 7 décembre 2013

Les critiques :
L’horloger meurt (toujours) deux fois
Par Cecilia Galindo
- L’horloger meurt (toujours) deux fois
suiteDeux pièces, deux meurtres et deux suicides : dans ce diptyque macabre proposé par le metteur en scène français André Engel et représenté jusqu’au 7 décembre au Théâtre de Carouge, les spectateurs sont les témoins silencieux de grands et petits crimes. Une impression de déjà vu ? Rien d’alarmant, ce spectacle est une invitation à voir double.