Comment vous appelez-vous ?
Hugo Torrigiani, né à Vevey en 1987
Pourriez-vous en trois ou quatre phrases nous décrire votre parcours ?
Mon parcours universitaire n’a pas été un long fleuve tranquille. J’ai en effet commencé un Bachelor en Sciences du Sport en 2007, avant de me réorienter vers les sciences sociales, pour finalement revenir à un Master en Gestion du Sport. Après quelques années passées dans le monde du sport « business », je suis actuellement en reconversion professionnelle pour devenir enseignant d’éducation physique, d’où mon retour sur les bancs de l’université.
Quand est-ce que vous avez commencé à travailler dans le projet « La fabrique des sports nationaux » et quelles sont vos missions dans ce projet ?
J’ai rejoint cette belle équipe début 2021, dans l’idée d’augmenter la « consistance » de la base de données sur les élites du sport suisse ainsi que pour développer le site internet du projet.
Quel est votre rapport à l’histoire ?
Mon affinité avec les sciences historiques s’est développée sur le tard, au moment du choix de ma deuxième discipline d’enseignement à l’université. J’ai un faible pour l’histoire antique qui nous fait revivre certains moments fondateurs de notre civilisation actuelle. Par ailleurs, j’apprécie tout particulièrement les œuvres de fiction historique, notamment cinématographiques ou vidéoludiques.
Quel livre d’histoire liriez-vous une deuxième fois (ou une troisième fois ?) avec plaisir ?
Sapiens : une brève histoire de l’humanité par Yuval Noah Harari.
Êtes-vous un amateur de sport au quotidien ?
Oui ! En ce moment, les intenses pratiques sportives de l’ISSUL ne me laissent pas trop le choix du type de sport, mais pendant mon temps libre je pratique très volontiers des sports de glisse ou de raquettes.
Quel est votre souvenir le plus marquant autour du sport ?
Difficile d’en faire ressortir un seul tant le sport, en tant que pratiquant ou spectateur, a jalonné ma vie dès mon plus jeune âge. Mais dans le lot, je dirais certains « exploits » réalisés avec mon équipe de football pendant mon adolescence, dont j’étais le capitaine. Le genre d’émotions partagées qu’on ne peut jamais oublier !