Dans cet interview, Sophie Swaton, Maître d’enseignement et de recherche à l’Institut de géographie et durabilité, discute des liens entre coronavirus et nature. Elle explique à quel point le vivant est résilient tout en pondérant les effets collatéraux de la pandémie sur le climat.
A l’exemple de Fukushima, quand les dégradations humaines sur l’environnement diminuent, le monde naturel reprend ses droits. Il faut toutefois rester prudent, selon la scientifique, car même si l’on arrêtait complètement les émissions de CO2 aujourd’hui, le réchauffement climatique atteindrait tout de même plus 2 degrés mondialement.