Un article paru dans le blog « Petite chimie du quotidien » de Nathalie Chèvre, maître d’enseignement et de recherche à l’Institut des dynamiques de la surface terrestre.
Mi-mars, des chercheurs italiens de la société italienne de médecine environnementale, de l’Université de Bologne et de celle de Bari, ont émis l’hypothèse que la pollution de l’air jouait un rôle prépondérant dans la pandémie de coronavirus, et notamment sur son impact en Italie.