Peut-être n’y a-t-il au fond que ce simple titre qui fasse écho au confinement que l’on vit durant cette période d’épidémie ? Mais il est possible également que les mots de Ghérasim Luca et la manière très particulière de les prononcer en disent beaucoup plus qu’on ne voudrait le croire. Quoiqu’il en soit, voici un petit intermède poétique pour tenir. Document d’archive rare, proposé par FR3-LaSept en 1988, que l’on retrouve, dans sa version complète, aux éditions Corti