François Boucher et l’art de la tapisserie des Lumières

Soutenance de thèse de Mme Akiko Kobayashi, candidate au doctorat ès Lettres.
Mardi 11 janvier 2022, 16h00-19h00, UNIL, Anthropole 2024.

Directeur de thèse :

  • M. Christian Michel, Professeur, Faculté des lettres, UNIL

Membres du jury :

  • M. Pascal Bertrand, Professeur, Universtié Bordeaux Montaigne, France
  • M. Tristan Weddingen, Professeur, Universität Zürich
  • M. Jan Blanc, Professeur, Université de Genève

Notice bio-bibliographique

Après l’obtention de sa licence et sa maîtrise en histoire de l’art à l’Université de Paris X-Nanterre, Akiko Kobayashi poursuit ses études et obtient sa maîtrise et son doctorat en histoire de l’art à l’Université des arts de Tokyo, la plus ancienne école nationale des beaux-arts du Japon. Elle s’inscrit parallèlement au doctorat de l’Université de Lausanne. Ses recherches sur François Boucher lui permettent de remporter le prix de la Kajima Art Foundation.

Depuis 2012, Akiko Kobayashi travaille en tant qu’assistante diplômée d’enseignement et de recherche à l’Université des arts de Tokyo, où elle est actuellement chargée de cours et enseigne également dans d’autres universités japonaises. Elle dispense des enseignements consacrés à l’art français, à l’art européen de la période moderne ainsi qu’à l’histoire des arts décoratifs.

Les recherches d’Akiko Kobayashi portent sur l’art du XVIIIe siècle et les tapisseries. En Europe, elle a participé à des activités internationales sur la tapisserie, organisées par l’équipe du projet de recherche Arachné de même qu’à l’École de printemps organisée par le Réseau international de formation à la recherche en histoire de l’art. Ses travaux ont été publiés sous forme d’articles et de livres coécrits. Son ouvrage collectif auquel elle a participé et récemment publié au Japon, s’intitule Le lieu et l’environnement de la création d’images : Iconographie et théorie de l’art dans l’histoire de l’art moderne. En plus de ses recherches professionnelles, elle a rédigé et traduit des catalogues d’expositions, ainsi que les livres sur l’art français de la période moderne afin de promouvoir l’art occidental au Japon.