Prendre part à un projet de sciences citoyennes tel que Capt’Air, c’est s’impliquer dans un mouvement mondial de sciences communautaires dans la production de connaissances locales. Il s’agit de participer à l’ancrage d’une science connectée aux besoins de la société et permettant le dialogue et l’apprentissage mutuel.

Nos défis ?

©bekky-bekks
  • Avoir une meilleure idée de la réalité locale, à l’échelle de nos rues, de la qualité de l’air en augmentant le nombre de capteurs low-cost de particules fines dans le canton de Vaud ;
  • Pouvoir utiliser les données dans des projets de recherche scientifique et donner du sens à ces données ;
  • Animer une communauté de personnes intéressées par les liens entre l’air, l’environnement et la santé et permettre le dialogue sciences et société entre les acteur·trice·s du domaines et les participant·e·s au projet.

Que faire ?

Les solutions sont connues, mais pour beaucoup ne dépendent pas de notre ressort. 

Par exemple :

  • réduire notre consommation d’énergies fossiles (essence,…);
  • améliorer les technologies des véhicules (moteurs, installation de filtres à particules, etc.);
  • créer des zones à faible traffic (dans les zones très densément peuplées).

En tant que citoyen·ne·s, nous pouvons favoriser la mobilité douce et active (marche, vélo, vélo électrique), bénéfique tant pour notre santé que pour la qualité de l’air. Nous pouvons aussi limiter l’utilisation de chauffage par le bois.

Il s’agit également d’influencer nos pouvoir publics pour améliorer nos cadres de vie en décongestionnant les axes routiers, en augmentant les espaces verts, en réduisant les espaces dédiés à la voiture ou encore en imposant des normes plus strictes aux industries et à l’agriculture.

Construire son capteur

Rejoignez-nous pour construire votre capteur de particules fines, température et humidité et échanger avec des spécialistes de la pollution de l’air et de la santé.

Gymnasienne (crédits Séverine Trouilloud)
Gymnasienne (©Séverine Trouilloud)