Accès au Center for Biomedical Imaging pour les chercheuses et chercheurs de SSP

Le Center for Biomedical Imaging (CIBM) est accessible à tous les chercheurs et chercheuses de la Faculté SSP qui souhaitent intégrer une technique d’imagerie biomédicale ou d’analyse pour leur projet de recherche. Nos chercheurs et chercheuses ont la possibilité d’entrer en contact avec le centre pour s’engager dans une collaboration de recherche avec les membres de l’une de ses sections, ou simplement pour accéder à son infrastructure technique de pointe.

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Le CIBM a été fondé en 2004 grâce au soutien de la Fondation Leenaards et de la Fondation Louis-Jeantet, et est le résultat d’une initiative de recherche et d’enseignement conjointe de plusieurs partenaires du projet Science-Vie-Société (SVS) entre l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne, l’Université de Lausanne, l’Université de Genève, les Hôpitaux Universitaires de Genève et le Centre Hospitalier Universitaire Vaudois. Le centre, reconnu aujourd’hui comme l’un des plus importants centres de recherche en Suisse, est un leader mondial de l’imagerie biomédicale pour le progrès de la science, de la santé, de la médecine et de la technologie.

Le CIBM encourage la synergie dans l’utilisation de l’imagerie biomédicale dans les domaines de la science, de la santé et de l’industrie afin de favoriser, entre autres, les collaborations dans les domaines de la recherche interdisciplinaire et de l’enseignement. Au cœur de l’activité du centre se trouve celle de ses membres qui sont représentés par des groupes de chercheur·e·s, scientifiques, ingénieur·e·s, technicien·ne·s et clinicien·ne·s. Chaque membre appartient à l’une des dix sections qui se différencient par la méthodologie de recherche d’un domaine de développement méthodologique: deux sections pour l’électroencéphalographie (EEG), trois sections pour l’imagerie par résonance magnétique (IRM), quatre sections pour le traitement du signal (SP), et une section pour la tomographie par émission de positons (PET).

Shékina Rochat, avec la contribution de Paolo Ruggieri, Chargé de recherche, Institut de Psychologie