Maxime Fanti étudie le français et l’anglais à l’Université de Lausanne. Il s’intéresse aux tensions entre écritures fictionnelles et non-fictionnelles chez les écrivain·e·s-reporters.
La traduction de concepts et de notions en contexte académique est nécessaire à la circulation des idées. Cette opération présente des difficultés pratiques – mais celles-ci offrent aussi l’occasion de remettre du jeu dans la pensée. Il s’agit ici d’y réfléchir à partir d’un exemple concret de traduction vers le français d’un chapitre écrit en anglais et en partie basé sur un appareil notionnel francophone (mais légèrement déplacé en anglais).