En 2024, l’Association Digital Dreams Festival et son directeur Marc Atallah, en coproduction avec l’Université de Lausanne, ont organisé un tout nouvel événement autour des technologies et imaginaires numériques, en six mois à peine. Une belle réussite avec un premier jour pour les écoles et PME (événement DigiVisions, 220 participantes et participants), une soirée festive, puis deux journées-soirées de performances numériques, artistiques et musicales, de conférences et d’ateliers orientés grand public, avec des artistes stars venus du Japon, de France, d’Italie et d’autres pays, dont la Suisse bien sûr. Le tout avec le soutien de nombreux partenaires publics et privés de la région. La manifestation dans son ensemble a attiré 6436 curieuses et curieux.
« Poser les bases du Digital Dreams Festival fut une aventure hors du commun, et aller à la rencontre des publics une richesse inestimable : toute l’équipe se réjouit de vous présenter le nouveau concept 2025 ! » déclare Marc Atallah, qui prépare activement la suite avec les collègues de l’UNIL et de nARTative SA.
Expérimenter plus et mieux
Au regard des critiques et, surtout, des encouragements et de l’enthousiasme suscités par la première édition, les organisateurs souhaitent augmenter les expériences immersives (on se souviendra notamment de la féerie sons et lumières de Tadamm), les performances d’art numérique, les sélections de jeux vidéo, les conférences-discussions. Plus généralement, il s’agira d’inscrire encore mieux la manifestation dans le décor du campus et son environnement naturel en misant sur l’intensification des projections lumineuses, et en offrant des activités ponctuelles à partir d’un cœur convivial qui rassemblera les visiteuses et visiteurs du jour et du soir. La silent disco sera plus familiale, moins tardive, et la musique classique trouvera sa place en soirée, de même que les expériences DJ.
Le DDF 2025 permettra de creuser davantage les quatre axes de la manifestation, autrement dit son caractère festif, sa capacité à faire communauté, son souci de la beauté ainsi que l’éducation aux potentialités collectives et individuelles de la révolution numérique. – NR
