Pluie record, sécheresse, inondations, incendies, éboulements, de tels événements deviennent plus fréquents. Deux facultés (HEC et FGSE) lancent le 1er mars un réseau de recherche unique en Suisse pour développer des méthodes d’évaluation quantitative des risques liés aux extrêmes climatiques. Il s’agit de permettre une meilleure anticipation de ces risques, en estimant avec des outils statistiques leur probabilité et leur sévérité sur différents horizons temporels. L’impact de la nature sur la société (les (ré)assurances, pour ne prendre qu’un exemple) exige de croiser les disciplines. Les professeurs Grégoire Mariethoz et Valérie Chavez-Demoulin ont initié avec leurs décanats et la Direction de l’UNIL ce Centre d’expertise sur les extrêmes climatiques (ECCE), placé sous la direction exécutive et scientifique d’Erwan Koch.