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Vingt ans se sont écoulés depuis l'entrée en vigueur en 2003 de la nouvelle Constitution du
Canton de Vaud, entièrement révisée par une Assemblée constituante. Les principales
modifications reflètent une prise de conscience à la fois du caractère sécularisé de la population – par le renforcement de certains droits fondamentaux et des libertés accrues
dans le domaine civil, par exemple – et de sa diversité religieuse. Une procédure juridique
permet désormais aux communautés religieuses n'ayant pas le statut de reconnaissance publique de l’obtenir. Après vingt ans, les demandes soumises sont encore en cours de traitement. L'échelle du canton nous permet de voir les différents rythmes des changements sociaux, culturels, juridiques, religieux et politiques et les résistances qu’ils engendrent.
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C'est dans ce paysage en constante évolution et tension, à la fois du canton et de toute la région lémanique et plus largement de l'Europe, que s'inscrit l'activité scientifique de la FTSR. Nous sommes loin du temps décrit par Annie Ernaux, ses années d'enfance de l'immédiat après-guerre (Les Années, Gallimard, 2008, p. 46), lorsque « la religion était le cadre officiel de la vie et réglait le temps ». Aujourd'hui, la place et les rôles attribués aux religions et aux spiritualités
ne vont plus de soi.
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La FTSR est également confrontée à différents défis organisationnels et scientifiques, posés entre-autres par les crises de l'énergie, les désastres écologiques et les conflits violents en Europe et ailleurs. Avec sa longue expérience, elle fait preuve de sa capacité à les relever et tire sa force des nombreux projets actuellement menés par les membres de la FTSR. Les thèmes abordés, tout comme les sources de financement, sont très variés. Les scientifiques de la FTSR qui participent à l'Alliance CIVIS, dont l'objectif est le partage de l'offre d'enseignement et l'engagement civique, en constituent un exemple, tout comme la participation au réseau Volteface, dont la recherche porte sur des enjeux de soutenabilité, et à l'action Vieillir 2023 menée par le Département de la santé et de l'action sociale du canton. Les écoles d'été en langues continuent d'attirer de nombreuses
inscriptions, et la FTSR est au coeur de la création d'un cercle interfacultaire
d'anthropologues, ainsi que d'un groupe de travail visant à assurer une formation explicite en éthique fondamentale. Notre offre importante en Formation Continue est considérable et sera désormais intégrée davantage à la vie facultaire. Enfin, le fait que la Société suisse de théologie (SSTh) organise son congrès du 11 au 13 septembre 2023 à la FTSR est une autre indication claire de la reconnaissance dont jouit la FTSR dans le domaine de la recherche.
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La recherche et les études bénéficient des synergies interfacultaires et interdisciplinaires ainsi que d'un contexte serein et stable que le décanat avec tout le personnel administratif
s’efforce de maintenir. La Faculté entreprend
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Irene Becci, Doyenne de la FTSR
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Prof. ordinaire en émergences religieuses
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et nouvelles spiritualités
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une réflexion fondamentale et constitue cet hiver une commission de planification, avec pour mandat notamment d'élaborer des scénarios de développement des structures et des ressources académiques. Tout en
s'inscrivant dans une continuité, il s'agit de redéfinir l'orientation et de rendre visibles nos
différents axes d'étude et de recherche.
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La Commission de planification répond également à la nouvelle stratégie d'évaluation mise en place par l'UNIL.
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Tout au long de l'année écoulée, le décanat a renforcé les liens avec les facultés voisines en rencontrant leurs décanats, et en développant davantage les synergies pour optimiser les ressources et clarifier la complémentarité des profils et des domaines de recherche – langues, aires géographiques ou approches scientifiques. Nos instituts accueillent des scientifiques d'excellence pour mener des projets de recherche de pointe et de doctorat variés.
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Ce foisonnement rend l'étude des religions et de la théologie à Lausanne unique et lui donne de multiples objectifs. La recherche fondamentale en est bien sûr un, mais il y a aussi l'application des connaissances et des compétences interdisciplinaires.
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Garder toujours à l'esprit cet horizon professionnel et de la société civile, au-delà du monde académique et religieux, est plus que jamais crucial pour la FTSR. Dans ce sens, la FTSR entretient des liens étroits avec les enseignant.e.s d'histoire et sciences des religions du canton, tout comme avec les Églises et le domaine de l'engagement social, politique et culturel, où nous voyons nos ancien.ne.s étudiant.e.s opérer brillamment.
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Je ne peux que féliciter mes collègues et les étudiant.e.s pour ces réussites, remercier notre personnel administratif et technique si compétent, et encourager les enseignant.e.s à continuer de contribuer de manière constructive, mais toujours critique et participative aux études et recherches que nous menons.
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CÉRÉMONIE D'OUVERTURE DES COURS 2023
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« Les minorités en Islam, l’islam des minorités »
Leçon inaugurale de Wissam H. Halawi
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Professeur en Histoire de l'Islam et des mondes musulmans
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Jeudi 21 septembre 2023 à 17h15
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Save the date !
Jeudi 23 novembre 2023 aura lieu la cérémonie de remise des grades.
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Congés scientifiques - comptes rendus
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Jacques Ehrenfreund (année académique 2022-2023) - De Lausanne à Jérusalem
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Un congé scientifique se planifie longtemps à l’avance. Le mien intervenait après un mandat de Doyen, marqué par la gestion du COVID, qui avait laissé peu de place à la partie du travail du professeur qui me tient le plus à cœur, celle qui consiste à se saisir d’une problématique - historique dans mon cas - et à l’envisager sous tous ses aspects, pour la comprendre le plus précisément et le plus exactement possible. Mon congé scientifique devait me permettre de passer un an affilié à un centre de recherche de l’Université hébraïque de Jérusalem, mon Alma Mater, celle dans laquelle j’avais fait mes études, soutenu ma thèse, occupé mon premier poste d’assistant. Il s’agissait pour moi de trouver dans ce centre d’excellence, l’un des meilleurs dans mon domaine de spécialité, l’étude des Juifs et du judaïsme, les conditions de travail et les interlocuteurs nécessaires pour mener à bien un projet de recherche.
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La question qui m’occupe peut difficilement être résumée en quelques mots, disons qu’il s’agit d’essayer de comprendre comment dans la modernité le concept hébraïque de עם ישראל, « peuple d’Israël », central dans la Bible, s’est trouvé mobilisé pour la mise en place d’un État. La tradition hébraïque présente la première occurrence de « peuple » comme concept organisateur de l’ordre social, politique et juridique ; le peuple d’Israël est soumis à une Alliance passée avec son Dieu, qui est par ailleurs le Dieu de tous. La Loi, qui fonde la vie collective du peuple, explicite les termes de cette Alliance entre deux partenaires dissymétriques. C’est pour cette raison que dans la tradition hébraïque la séparation entre peuple et religion n’est pas envisageable selon les termes qui seront plus tard énoncés par le christianisme, puis dans les États de marque chrétienne. La pensée politique moderne s’est emparée du concept de « peuple », le reprenant à la tradition hébraïque, mais en le comprenant autrement : le peuple est souverain, c’est-à-dire qu’il est constitué par des égaux qui se donnent à eux-mêmes la loi
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qui les gouverne. La politisation du concept biblique de peuple dans l’Israël contemporain est une innovation dont on n’a pas fini de mesurer les conséquences.
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Ce sont ces questions qui m’occupaient, lorsqu’elles ont fait irruption avec une intensité sans précédent dans l’actualité israélienne : une réforme juridique menée tambour battant par une faction religieuse aux forts accents messianiques, a fait descendre dans la rue chaque semaine, des centaines de milliers de citoyens inquiets que l’équilibre démocratique fragile, puisse être remis en question. Israël est un État qui à ce jour n’a pas de constitution ; la Déclaration d’indépendance énonce les principes qui le dirigent et définit l’État comme Juif et démocratique. Ce texte affirme la vocation juive de l’État, sans la spécifier autrement que comme celle d’être un refuge, et énonce l’égalité de tous devant la loi, indépendamment de toute affiliation religieuse, ce texte affirme aussi l’égalité totale des femmes et des hommes. Y a-t-il une tension entre le caractère juif et le caractère démocratique de l’État ? Ces deux affirmations sont-elles contradictoires ? Comment faire pour les concilier dans une société immensément diverse ethniquement et religieusement, dans laquelle cohabitent des Juifs, religieux ou séculier, une importante minorité arabe, musulmane et chrétienne ? C’est l’ensemble de ces questions qui sont au cœur d’un débat dont les termes sont juridiques, politiques, historiques et religieux.
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Être en mesure de suivre ces débats « sur le terrain », a été une opportunité unique pour l’historien. Soudain les questions qui occupaient ma réflexion intellectuelle prenaient forme dans un immense brouhaha social. Ce congé scientifique m’a rappelé à quel point la science historique, plus que toute autre peut-être, est en prise avec le monde. Elle est un instrument indispensable pour le comprendre et donc pour y agir.
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Simon Butticaz (semestre de printemps 2023) - Un petit tour du monde…
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L’interculturalité. Tel fut le fil d’Ariane – inattendu ! – de mon congé scientifique. L’insoupçonnée boussole de mon périple académique. Car le semestre de printemps m’a fait voyager – à travers les pays, les cultures et les facultés ! A commencer par un premier séjour, courant mars, à Madagascar. Accueilli à la Faculté de théologie d’Ambatonakanga sise au cœur de la capitale malgache, j’ai participé à l’enseignement et à la formation en Nouveau Testament. Non sans vivre un important décentrement académique et l’ouverture à une approche interculturelle de la théologie. Un dialogue des savoirs et des cultures qui a notamment pris corps dans un petit colloque conclusif au terme de mon séjour.
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La Faculté de théologie d'Ambatonakanga (Antananarivo / Madagascar; photo: SB)
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De retour pour les Rameaux sur le continent européen, mes pérégrinations scientifiques m’ont conduit sur une autre île, la Grande-Bretagne. Et l’occasion faisant le larron, j’en ai profité pour faire un crochet par Londres et assister (entre les gouttes d’eau) au couronnement de Sa Majesté, le roi Charles III. Autre cadre, autre ambiance ! Mais ma destination était plus à l’ouest, Exeter, ville bâtie le long de l’Exe et surmontée d’une majestueuse cathédrale. C’est son campus verdoyant – qui n’est pas sans rappeler les pâturages de Dorigny et ses moutons – qui m’attirait dans le comté du Devon. Grand spécialiste des sciences sociales appliquées à l’étude du Nouveau Testament, le prof. David Horrell m’a aimablement ouvert les portes du Center for Biblical Studies et m’a donné l’opportunité de présenter mes travaux en cours sur la mémoire aux origines du christianisme. Un échange qui s’est inévitablement conclu… autour d’une tasse de thé !
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Vue sur le Campus de l'Université d'Exeter (UK; photo: SB)
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Ce bref séjour touchant à sa fin, j’ai repris le train pour Londres avant de m’envoler pour Munich. Car c’est là, au sein de la prestigieuse Université Louis-et-Maximilien, que s’est poursuivi mon (petit) tour du monde des académies. Chargé d’histoire, le bâtiment principal héberge aussi deux Facultés de théologie – l’une catholique, l’autre protestante. Titulaire de la chaire d’Exégèse du Nouveau Testament et d’Herméneutique biblique à la Faculté catholique, c’est le prof. Knut Backhaus qui était mon hôte, la Fachbibliothek Theologie und Philosophie m’offrant un cadre idéal pour l’étude. Avec, là aussi, la mémoire des premiers croyants au programme de mes recherches.
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Vue du « Lichthof » / Bâtiment principal de l'Université Louis-et-Maximilien de Munich (DE; photo: SB)
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Les beaux jours arrivant, ce sont finalement les lieux de réunions scientifiques qui se sont succédés sur ma route : Paris pour le colloque du Réseau de recherche en narratologie et Bible ; Syracuse (Ortygie) pour le congrès annuel de l’European Association of Biblical Studies ; Leuven pour le 72e Colloquium Biblicum Lovaniense, puis Vienne pour la réunion générale de la Studiorum Novi Testamenti Societas. Différents colloques, divers thèmes de communications en lien avec mes principaux champs de recherche – l’œuvre lucanienne et les lettres de Paul aux Romains et aux Galates. Je suis reconnaissant à l’Université de Lausanne et à sa Faculté de théologie et de sciences des religions de m’avoir donné l’opportunité de ce congé scientifique, qui m’a permis la découverte de cultures académiques dans leur chatoyante diversité. Un émerveillement salutaire !
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Graduées et gradués de l'année 2022-2023
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Baccalauréats universitaires en sciences des religions
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Mallen Gonzalez Sara Cristina
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Baccalauréat universitaire en théologie
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Maîtrises universitaires en sciences des religions
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Maîtrise universitaire en théologie
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Thèse soutenue cette année à la FTSR
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Dr. Mariano Villalba - thèse de doctorat ès Sciences des religions, soutenue le 19 juin 2023 :
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Race, nation et révolution. Arnold Krumm-Heller et l’ésotérisme au Mexique (1910–1920).
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Co-direction : Profs Silvia Mancini, UNIL-IHAR et Jean-Pierre Brach, EPHE, Paris.
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Membres du jury: M. Serge Gruzinski, Directeur de recherches CNRS Émérite, Paris et Directeur d’études EHESS, Paris ; M. Chaves Pacheco José Ricardo, Enseignant et chercheur UNAM, Mexico ; M. Marco Pasi, Professeur associé, Université d’Amsterdam.
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Nouvelles collaboratrices et nouveaux collaborateurs
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Mme Nour Al-Zuhairy, bibliothécaire scientifique, a débuté son contrat à l'IHAR à 20% le 1er août 2023.
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M. Esteban Arcos est chargé de recherche à 60% au CIRE depuis le 1er septembre 2023.
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Mme Gabrielle Duboux est chargée de recherche à 20% au CIRE depuis le 1er juin 2023.
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Prof. Wissam H. Halawi a été titularisé au rang de professeur associé depuis le 1er août 2023.
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M. Samy Ibriz Pelaez est développeur full-stack à 100% depuis le 1er décembre 2022.
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Mme Miriam Jaillet est coordinatrice CUSO à 20% depuis le 1er janvier 2023.
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Mme Lara Loye est chargée de recherche à l'IHAR à 70% depuis le 1er septembre 2023.
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Mme Julie Matthey-de-l'Endroit est chargée de formation à 20% à l'ISSR depuis le 1er août 2023.
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Mme Christianna Menkshi est apprentie stagiaire au secrétariat du décanat depuis le 28 août 2023.
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En plus de son contrat de conseillère aux études à 30% pour la filière sciences des religions, Mme Sophie Nedjar s'occupe de la filière théologie (UNIL-UNIGE) à 60% depuis le 1er novembre 2022.
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Mme Maruša Novak est Assistante diplômée à 100% à l'ISSR depuis le 1er février 2023.
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Mme Valérie Schneiter est assistante aux affaires décanales à 100% depuis le 1er août 2023.
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Mme Laeticia Stauffer est Assistante diplômée à 80% à l'ISSR depuis le 1er août 2023.
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Collaboratrices et collaborateur qui ont quitté la FTSR
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Dr. Liudmila Gamaiunova a terminé son contrat de Première assistante à l'ISSR le 30 juin 2023
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Mme Tsipora Geron-Luzon, chargée de cours en hébreu moderne, a pris sa retraite en février 2023.
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Dr. Anaïd Lindemann a terminé son contrat d'Assistante diplômée le 31 octobre 2022.
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M. Philippe Therrien a terminé son contrat d'Assistant diplômé le 31 août 2023.
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Dr. Raphaela von Weichs a terminé son contrat à l'ERC le 31 décembre 2022.
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M. Vadim Zimmermann, apprenti-stagiaire au secrétariat, a obtenu son CFC le 30 juin 2023.
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11 septembre 2023 - Journée "hors-les-murs" du séminaire de recherche de l'IHAR. Casino de Montbenon, Salon Bleu. Org.: Virgile Delmas et Clément Salah. Plus d'information
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11-13 septembre 2023 - Congrès annuel de la Société suisse de théologie (SSTh) "Prophétie en conflit - Prophetie im Konflikt", Anthropole 2055. Org.: Ruth Ebach.
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6-7 octobre 2023 - Formation courte "Ethique de l’innovation numérique. Accompagner l’innovation responsable au sein d’une organisation", UNIL. Org.: Johan Rochel (CDH-EPFL) et Nadja Eggert (CIRE).
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12-13 octobre 2023 - Colloque du CIHSR : "Narratives of Transformation: Reconsidering Conversion in a Comparative Framework", UNIL. Org. : Philippe Bornet (Lettres), Nicolas Meylan et Raphaël Rousseleau (FTSR).
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18 octobre 2023 - Matérialités et histoire - Vernissage de la collection Heuristiques, Palais de Rumine. Org.: Thomas Bouchet, Marta Caraion, Rudolf Mahrer, Jean-François Bert.
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25 octobre 2023 - Journée d'automne de l'IRSB - Ethique et pratique de l'amitié dans l'Antiquité : réceptions juives et chrétiennes anciennes, UNIL. Org.: Anne Boiché et Simon Butticaz. Plus d'information
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27 octobre 2023 - Journée CUSO - Curriculum Pauli : quelle(s) articulation(s) entre la biographie de Paul et son oeuvre ?, UNIGE. Org.: Simon Butticaz, Valérie Nicolet et Ephraïm Nlandu. Plus d'information
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2 novembre 2023 - Journée d'étude inaugurale du projet CIVIS "Art-based methods in social sciences: towards engaged co-construction of knowledge", UNIL.
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Org.: Monika Salzbrunn. Plus d'information : monika.salzbrunn@unil.ch.
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30 novembre 2023 - Conférence de la Prof. Aliocha Maldavsky : "Théologie morale, restitution et société coloniale dans les Andes du 16e siècle", UNIL. Org.: Stefano Torres et Christian Grosse.
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11-12 décembre 2023 - Journées d'étude au sujet des 20 ans de la Constitution vaudoise et les enjeux de reconnaissance de la diversité religieuse, UNIL. Co-org.: Irene Becci (UNIL), Direction des affaires religieuses du canton de Vaud et CIC. Plus d'information.
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Mars 2024 à décembre 2025 - Formation continue CAS "Ethique, santé et environnement. Intégrer l'éthique dans la prise de décision", UNIL-EPFL. Org.: Nadja Eggert (FTSR-CIRE) et Gérald Hess (FGSE-CIRE).
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7-8 mai 2024 - Journées d'étude internationales sur le thème "Urban religious diversities", UNIL. Org.: Irene Becci.
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13-14 juin 2024 - Colloque dans le cadre du projet FNS sur Alfred Loisy: "Prophétiser la Religion de l'humanité. Philosophie, histoire et mysticisme dans les petits livres rouges post-modernistes d'Alfred Loisy (1917-1935), Unil. Org.: IRSB. Plus d'information.
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Ouvrages publiés récemment
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Hamidovic D., Les manuscrits de la mer Morte, Que sais-je ?, 2023.
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C’est dans les grottes du pourtour de la mer Morte que furent découverts, dans les années 1940-1950, les fameux manuscrits de la mer Morte – plus de mille manuscrits qui ont profondément renouvelé la connaissance du judaïsme ancien au tournant de l’ère chrétienne. Cette période cruciale donna naissance au judaïsme rabbinique et au mouvement de Jésus, qui, quelques siècles plus tard, deviendra le christianisme.
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Ces textes véritablement littéraires, rédigés sur des rouleaux, donnent à voir le bouillonnement intellectuel des derniers siècles avant l’ère chrétienne, qui a suscité l’émergence d’idées nouvelles. Les milieux savants comme les milieux croyants n’ont cessé de suivre la publication de ces textes afin d’y trouver de quoi éclairer d’une lumière neuve les idées et les fondements de telle ou telle croyance.
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David Hamidovic nous invite à explorer l’une des plus importantes découvertes de manuscrits du XXe siècle qui est aussi une véritable révolution dans les études bibliques.
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Brunschwig F., Perrenoud M., Leitenbreg L., Ehrenfreund J. (éd.), Albert, Esther, Liebmann, Ruth et les autres. Présences juives en Suisse romande, Alphil, 2023.
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Albert, Esther, Liebman, Ruth et les autres. Des prénoms choisis entre mille pour évoquer des personnalités juives de Suisse romande. L’écrivain Albert Cohen, le démographe et militant politique Liebman Hersch, sa fille, la philosophe Jeanne Hersch ou encore Ruth Dreifuss, la première femme présidente de la Confédération. Figures éminentes ou personnes ordinaires, les Juifs de Suisse romande forment une population au large rayonnement religieux, économique et culturel.
Sait-on que Montreux a abrité autrefois ce qui fut longtemps une des plus grandes yeshivot (centres d’études bibliques) d’Europe? L’Université de Fribourg, quant à elle, a accueilli dès les années 1970 l’enseignement du philosophe juif Emmanuel Levinas dont les cours se terminaient souvent autour d’une réunion informelle avec les pères dominicains. Quant à Chaim Weizmann, le premier président de l’État d’Israël, après avoir préparé et obtenu son doctorat en chimie à l’Université de Fribourg, c’est à Genève qu’il jeta les bases de l’Organisation sioniste mondiale.
L’histoire des diverses communautés et la vie juive ont fait l’objet de publications bien documentées. Mais les Juifs de la partie francophone de la Suisse n’ont à ce jour pas reçu l’attention qu’ils méritent du point de vue de la recherche historique. En réunissant vingt-six auteurs et en abordant plusieurs thèmes inédits, ce livre offre une approche plurielle pour appréhender le paysage juif suisse romand passé et actuel.
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Savoy Lauriane, Pionnières. Comment les femmes sont devenues pasteures, Labor et Fides, 2023
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Des femmes pasteures qui célèbrent le culte, qui prêchent du haut de la chaire, qui baptisent, qui rompent le pain, élèvent la coupe et distribuent la sainte cène; des femmes qui animent le catéchisme, accompagnent les familles endeuillées et bénissent les couples mariés: cela fait presque un siècle qu’il y a en a, dans certaines Églises protestantes réformées!
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Leur arrivée ne s’est pas faite sans débat et sans difficultés. Lauriane Savoy propose une étude fouillée du processus à l’œuvre dans les Églises de Genève et Vaud, faisant sortir de l’oubli des pionnières courageuses des années 1920, des hommes alliés, des comités de soutien, des opposants acharnés. Elle explore des archives truculentes, donne à entendre la parole de femmes qui ont commencé leur ministère dans les années 1970 et racontent leur vocation, montre la conciliation délicate entre leur engagement et leur vie de famille.
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En un siècle, les Églises protestantes réformées sont passées du monopole masculin sur le pastorat à une proportion de près de 40% de femmes pasteures. Cette révolution méconnue, particulière au protestantisme, donne à penser sur les défis auxquels femmes et hommes sont confrontés encore aujourd’hui.
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Avec une préface d'Anne Soupa et une postface d'Élisabeth Parmentier.
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Gay J.-P., Mostaccio S., Tricou J. (eds), Masculinités sacerdotales, Brepols, 2023.
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Ce volume, fruit d’un colloque tenu à Louvain-la-Neuve en mars 2018, est le premier à rassembler des études de chercheurs venu d’horizons historiographiques différents (histoire religieuse, histoire du genre, histoire de l’art, histoire culturelle) pour traiter de l’histoire des masculinités sacerdotales et cléricales du Moyen-Âge à l’époque contemporaine. À l’intersection de l’histoire religieuse et de l’histoire du genre, ces études manifestent l’importance de la prise en compte de l’outil du genre pour l’histoire des clergés, mais mettent ausssi en lumière la manière dont tant les approches historiques que la prise en compte du religieux, interrogent en retour les catégories par lesquelles les études de genre ont interrogé les masculinités contemporaines.
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Amsler F., Butticaz S., Scandale ou salut ? Comprendre la mort de Jésus, Labor et Fides, 2023.
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La croix du Golgotha: dans la vie de Jésus, c’est l’événement dont l’historicité est réputée la plus fiable et le sens le plus énigmatique. Qu’un homme meure fait partie de sa condition, dès la naissance. Que le «Fils de Dieu» trépasse constitue un désaveu de la toute-puissance divine.
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Cette tension accompagne toute l’histoire du christianisme: depuis les origines, les croyants en Jésus ont tenu ensemble la factualité de cette mort en croix, châtiment antique particulièrement cruel, et la nécessité d’en comprendre le sens.
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C’est ce saisissant travail d’interprétation que le présent volume collectif, fruit d’un cours public, retrace. Esquissant un parcours de l’apôtre Paul au Coran, en passant par l’Évangile de Pierre ou encore les Actes de Pilate, il s’ouvre sur la réception de la crucifixion au diapason des enjeux écologiques contemporains.
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Brandt P.-Y., Dandarova Z., Cocco C., Vinck D., Darbellay F. (eds), When Children Draw Gods. A Multicultural and Interdisciplinary Approach to Children's Representations of Supernatural Agents, Springer, 2023.
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This open access book explores how children draw god. It looks at children’s drawings collected in a large variety of cultural and religious traditions. Coverage demonstrates the richness of drawing as a method for studying representations of the divine. In the process, it also contributes to our understanding of this concept, its origins, and its development. This intercultural work brings together scholars from different disciplines and countries, including Switzerland, Japan, Russia, Iran, Brazil, and the Netherlands. It does more than share the results of their research and analysis. The volume also critically examines the contributions and limitations of this methodology. In addition, it also reflects on the new empirical and theoretical perspectives within the broader framework of the study of this concept. The concept of god is one of the most difficult to grasp. This volume offers new insights by focusing on the many different ways children depict god throughout the world. Readers will discover the importance of spatial imagery and color choices in drawings of god. They will also learn about how the divine's emotional expression correlates to age, gender, and religiosity as well as strategies used by children who are prohibited from representing their god.
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Butticaz S., Avant le péché originel, Labor et Fides, 2022.
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«Une religion de la peur»: c’est avec ces mots que Jean Delumeau, ancien professeur au Collège de France, qualifiait l’histoire du christianisme en Occident, son entreprise de culpabilisation et son obsession de la faute. L’Église n’a-t-elle pas inventé la doctrine du «péché originel» et les affres du «purgatoire»?
Cette sulfureuse réputation appelle clarification. D’où vient-elle? En quoi le Nouveau Testament est-il responsable de cette tyrannie de la culpabilité? Et comment comprendre la fortune du péché dans le sillage du Dieu d’amour annoncé par Jésus de Nazareth?
À la suite d’autres, c’est l’histoire d’un mal(-)entendu que ce petit livre se propose de retracer, examinant la représentation de la faute et du péché que livrent aux origines du christianisme l’homme de Nazareth, Paul l’apôtre ou encore les évangélistes Matthieu et Jean.
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Meylan N., The Pagan Earl. Hákon Sigurðarson and the Medieval Construction of Old Norse Religion, University Press of Southern Denmark, 2022.
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This monograph comprises a close investigation of the use of ‘pagan’ concepts by the authors and redactors of medieval Norwegian royal history, the vernacular and Latin works commonly called kings sagas. The work is structured as a biography of Hákon jarl Sigurðarson, who is portrayed as a staunch pagan, with the various chapters departing from some incident in Hákon’s biography to consider one of the major categories of pre-Christian religion posited by scholars. These range from divine and sacred kinship through ritual, sacrifice, and temples, to myth and fate, and by the end, effectively all the significant categories have been treated. The various chapters show how authors and redactors put the relevant religious concepts to ideological service, primarily relating to notions of the extent to which kingship should be centralized.
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