Enseignement

IMPACT dispose de fonctions de gestion, d’étiquetage et d’interrogation de base de données qui peuvent servir l’enseignement.

1. Gérer
2. Etiqueter
3. Interroger


1. Gérer

Chaque fiche se voit attribuer un ou plusieurs rédacteurs qui ont la possibilité de la modifier. Les états permettent de gérer la visibilité de la fiche. Par défaut, la fiche est privée, ce qui signifie que seuls ses rédacteurs peuvent la voir. L’état ouvert permet de donner accès à la fiche au(x) responsable(s) de l’espace, qui a aussi les droits d’édition sur les fiches. Finalement, l’état ouvert permet à tous les utilisateurs de l’espace de consulter la fiche, en lecture seule.

Par défaut, un email est envoyé au(x) responsable(s) à chaque changement d’état, mais cela peut être désactivé dans les réglages de la fiche.

D’autres états et actions sont configurables par le(s) responsable(s).

Exemple 1: l’enseignant crée les fiches à l’avance, les projette en classe et les rend publiques pour les étudiants à l’issue de la séance.

Exemple 2: l’enseignant crée de nouveaux états qui correspondent à son scénario pédagogique. Il propose ainsi un parcours où l’étudiant doit, dans l’ordre, proposer un extrait, le transcrire puis l’analyser. À chaque étape, l’enseignant est averti par e-mail que l’étudiant lui a donné accès à une partie de son travail et peut lui donner un retour.


2. Etiqueter

Chaque fiche dispose d’une case où introduire des étiquettes (tags). Un système d’autocomplétion permet de réutiliser facilement les étiquettes déjà introduites dans l’espace.

Dans le menu «Configurer» de chaque espace, un onglet est spécifiquement dévolu aux étiquettes introduites. Il recense les étiquettes utilisées et permet de les renommer, d’en supprimer ou d’en ajouter. Finalement, une option permet de récupérer le jeu d’étiquettes créé dans un autre espace.

Une fois des étiquettes introduites, il est possible de filtrer les fiches d’un cours, en ne faisant apparaître que celles qui présentent telle ou telle étiquette.

Exemple 1 : l’enseignant soumet aux étudiants un corpus à étiqueter. L’autocomplétion est une occasion de partage et de discussion autour des catégories pertinentes.

Exemple 2 : pour son mémoire de fin d’études, un étudiant enrichit son corpus avec des étiquettes, qui intègrent sa réflexion et son délivrable.

Exemple 3 : un enseignant fait varier ses exemples en puisant dans sa base de données étiquetées par type de phénomènes.


3. Interroger

IMPACT permet d’opérer des recherches textuelles au sein des différentes cases et/ou des recherches par étiquettes.

Exemple 1 : un enseignant fait travailler les étudiants sur les interactions à deux locuteurs qui présentent les pronoms « on » ou « nous » dans la transcription.

Exemple 2 : un étudiant a besoin d’un exemple d’occurrence de « moi je » pour expliquer la différence entre pronoms toniques et atones.