Le 1er novembre dernier, le décanat a eu le plaisir d’accueillir Glen Lomax en tant qu’informaticien de la division calcul et soutien à la recherche (DCSR). La DCSR a pour mission de fournir à l’UNIL des ressources de calcul et stockage informatiques, ainsi qu’une expertise transverse à ses facultés et instituts. Ce champ d’expertise inclut aussi bien le support au calcul à haute performance que les mandats de développement web et base de données. Dans ce poste, M. Lomax est en soutien à la recherche SSP à 100%.
Pouvez-vous nous expliquer votre parcours professionnel en quelques mots ?
Bidouilleur passionné, j’ai précocement su appliquer mes connaissances en informatique pour apporter des solutions web et logicielles à, par exemple, des entreprises locales, des plasticiens, des restaurateurs ou des associations d’artistes. Il est capital pour moi d’assister des projets où se reflètent mes valeurs et, fervent défenseur de l’épanouissement par la culture, c’est naturellement que j’ai ensuite eu le plaisir de programmer pour des écoles et universités, notamment lors de mes études en Sciences Cognitives à l’École Normale Supérieure à Paris. J’ai ainsi accumulé des compétences relativement transversales en développement, en administration système et en enseignement (en particulier à l’École polytechnique féminine de Sceaux).
Quelles sont vos principales missions de soutien auprès des chercheur·euses de la Faculté ?
Ma démarche initiale est de rencontrer un maximum de chercheurs SSP, d’horizons divers pour cartographier l’étendue des besoins, des désirs, des frustrations et déceptions du corps cherchant devant les outils numériques mis à disposition par la division calcul et soutien à la recherche du centre informatique. Le but étant d’identifier les convergences majeures pour entamer des travaux d’adaptation et d’installation de services les plus pertinents. Mon but est de faciliter le travail des chercheurs avant tout, avec la double contrainte associée d’apporter un meilleur respect des cadres législatifs (notamment en regard du traitement des données personnelles et sensibles) ainsi que d’améliorer la sécurité des systèmes d’information.
Comment allez-vous interagir avec les chercheur·ses de la Faculté pour mener ces missions à bien ?
Mon bureau est ouvert pour tout témoignage et toute interrogation. J’organise des rendez-vous individuels et suis, même si je privilégie l’interaction physique, disponible en visio-conférence. Je dispenserai aussi quelques formations dédiées aux chercheurs. Une file de tickets incidents est prévue à l’adresse ingenieur-recherche-ssp@unil.ch pour me contacter et documenter vos demandes de support.
L’Université de Lausanne a développé un vaste réseau de soutien à la recherche ces dernières années. Quels sont vos liens avec les différents services de soutien à la recherche de l’UNIL ?
Je suis en lien privilégié à SSP avec le responsable informatique Laurent Gregoire, avec La Data Steward Ellina Mourtazina et avec la responsable Éthique de la recherche Nathanaëlle Minard. Du côté du centre informatique, je fais partie de la division calcul et soutien à la recherche sous la direction de Roberto Fabbretti, en étroite collaboration avec Thierry Lombardot pour remédier aux nombreux défis pratiques et techniques qui nous apparaissent. Enfin, je collabore avec Carmen Jambé d’UNIRIS sur des questions de gestion des données de recherche.
Quels sont vos autres centres d’intérêt ?
Je préfère qualifier mes intérêts de décentrés, car toujours avide de changements je laisse ma curiosité me surprendre. Sinon, très sérieusement, j’apprécie la sérénité d’une balade en forêt et d’une cueillette de champignons.