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Biobibliographie

Fadua Itani

Étudiante en français moderne à l’Université de Lausanne, Fadua Itani s’intéresse à l’interdisciplinarité des langues, à la mémoire, à l’exil, à l’identité et à la BD franco-libanaise. Elle dessine ses idées.

Ses publications
  • Planche 1. Première vignette, une jeune femme tient une langue dans sa main. "Quelle est votre langue maternelle ? Ma mère parle cinq langues, mais elle sait répondre à la question. Alors que moi, enfant, j'en connaissais trois." Les trois vignettes suivantes représentent une jeune femme parler successivement italien, arabe et français, faisant de grands gestes de la main qui entrent en écho avec certaines des BDs comparées par l'autrice. "Et au plus profond de moi-même, et à l'heure actuelle, je ne sais toujours pas comment répondre à la question..."
    Multilinguismes : identité complexe et diglossie maternelle
    « Moi, je suis ma langue », affirme Mahmoud Darwich (Chatti, 2017), poète palestinien pour qui la langue incarne l’identité plus encore que la terre elle-même.
  • Sarah Jollien-Fardel, La Longe, Paris, Sabine Wespieser, 2024, 160 pages.
    Un exutoire déplaisant
    Ayant un certain goût pour la noirceur, Sarah Jollien Fardel écrit La Longe (2024), une œuvre sur la mort et le deuil. Lauréate de plusieurs prix pour Sa Préférée (2022), l’autrice continue son cheminement des douleurs invisibles.