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James Bond, macho mais éternel

Cinquante-neuf ans qu’il désamorce des bombes, déjoue des complots, emballe des créatures magnétiques, a la répartie cinglante et réussit à faire oublier son sexisme. Décryptage d’un mythe, avant «Mourir peut attendre», cinquième et dernier film avec Daniel Craig en James Bond

«Mourir peut attendre», réalisé par Cary Joji Fukunaga, marque la cinquième et dernière apparition de Daniel Craig dans le rôle de James Bond. — © Nicole Dove/Danjaq/MGM
«Mourir peut attendre», réalisé par Cary Joji Fukunaga, marque la cinquième et dernière apparition de Daniel Craig dans le rôle de James Bond. — © Nicole Dove/Danjaq/MGM

Le divorce est prononcé. Seize ans après avoir imprégné Bond de ses phéromones viriles, Daniel Craig rend son nœud papillon après une ultime série de cascades spectaculaires dans son film testament, Mourir peut attendre (sortie le jeudi 30 septembre). Une vidéo de ses remerciements émus, le dernier jour du tournage, circule sur le web. Les larmes pointent. Pas facile de larguer une légende.

Chronique:  007, une immuable combinatoire

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