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Un secteur culturel épargnéLes créateurs romands de jeu vidéo, du mode survie au monde ouvert

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Towaga: Among Shadows, création du studio lausannois Sunnyside Games, est un exemple de la réussite des développeurs suisses.
Digital Kingdom nous a gracieusement envoyé cette image de Swordship, un jeu en cours de production dans le studio veveysan.
À l’occasion des Jeux olympiques de la jeunesse 2020, en janvier, L’Espace Arlaud à Lausanne comportait une zone réservée à Swiss made Game League. De dos, Nicolas Pidancet y partageait des moments de jeu, comme ici lors d’une partie sur Unrailed.


Le gaming a longtemps eu mauvaise réputation. Considéré comme un parent pauvre des domaines artistiques, méprisé pour sa trivialité, associé à un manque de maturité voire à une addiction à la technologie, le jeu vidéo peinait à se faire une place dans la galaxie culturelle. Pourtant depuis une dizaine d’années, la discipline prend toujours plus de place et se démocratise. En Suisse aussi. Mais ce bel élan a été compliqué par l’arrivée du Covid.

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