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Argent, écriture et fictionLa littérature se réduit-elle au commerce des livres?

Les kiosques de gare, vitrines de choix pour l’industrie du livre et les best-sellers sur lesquels elle capitalise.

Le prestige littéraire, ainsi que les qualités qui lui sont historiquement affiliées, n’est-il plus qu’un hochet suranné agité par ceux qui font commerce du livre? Dans leur essai «Le fétiche et la plume», que les éditions Rivages viennent de publier, les Françaises Hélène Ling (lire son interview en encadré) et Inès Sol Salas en sont persuadées, qui pointent les concentrations éditoriales aux mains de grands groupes contrôlant également la diffusion et la médiatisation de leurs produits.

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