Publicité

Philippe Eckert: «Malgré les postes supplémentaires, le CHUV reste sur le fil du rasoir»

Le CHUV fête ses 40 ans cette année. Alors qu’il a démontré sa capacité à surmonter l’urgence et la crise du covid, il a encore du chemin à réaliser pour s’adapter aux changements de fond liés aux transformations de la société

Philippe Eckert, directeur général du CHUV, à Lausanne, l6 septembre 2022.
Philippe Eckert, directeur général du CHUV, à Lausanne, l6 septembre 2022.

Philippe Eckert a pris la direction du Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV) en 2020, à la veille d’un des plus grands séismes que le système de santé suisse ait connus. Si la pandémie de Covid-19 a immédiatement mis à l’épreuve ses compétences de manager, elle a depuis laissé la place à l’épuisement d’un personnel qui hésite de moins en moins à exprimer son malaise, et qui attend des réponses.

La crise, ça le connaît. En 2015 déjà, Philippe Eckert avait été mandaté pour réorganiser les soins intensifs en proie à d’importants dysfonctionnements. En tant que médecin, il a lui-même fait ses premières armes dans ce secteur extrêmement exigeant, où le travail en équipe est une nécessité. Une «éducation intensive», comme il se plaît à l’appeler, qui lui a servi de fil rouge tout au long de sa carrière.

Cet article vous intéresse?


Pour profiter pleinement de nos contenus, abonnez-vous! Jusqu'au 31 Mai, profitez de près de 15% de rabais sur l'offre annuelle!

CONSULTER LES OFFRES
Les bonnes raisons de s’abonner au Temps:
  • Accès illimité à tous les contenus disponibles sur le site web.
  • Accès illimité à tous les contenus disponibles sur l'application mobile
  • Forfait de partage de 5 articles par mois
  • Consultation de la version digitale du journal dès 22h la veille
  • Accès aux suppléments et à T, le magazine du Temps, au format e-paper
  • Accès à un ensemble d'avantages exclusifs réservés aux abonnés