Votre navigateur est obsolète. Veuillez le mettre à jour avec la dernière version ou passer à un autre navigateur comme ChromeSafariFirefox ou Edge pour éviter les failles de sécurité et garantir les meilleures performances possibles.

Passer au contenu principal

Vivre avec la variole du singe«C’est surtout moralement que ça a été difficile»

Pour Luca Avallone, tout a commencé par une forte fatigue et un mal de tête persistants. Quand des boutons sont apparus sur son corps, il n’a eu aucun doute: il avait attrapé la variole du singe.

Nous rencontrons Luca Avallone dans un parc lausannois. Le Vaudois de 28 ans est en semi-isolement. Il doit fuir les lieux fermés et couvrir ses lésions cutanées avec des vêtements pour éviter toute contamination. «L’isolement, pour la variole du singe, c’est dix jours minimum. Mais il faut surtout que les pustules sèchent et tombent pour ne plus être contagieux. Et de nouvelles viennent d’apparaître…»

Les articles ABO sont réservés aux abonnés.

S'abonnerDéjà enregistré.e ou abonné.e?Se connecter