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L'Aventure de la mobilité

La pandémie de Covid-19 a bouleversé la mobilité étudiante. Les confinements successifs, la difficulté de se déplacer et la fermeture des frontières ont freiné les déplacements. De nombreux sites d’accueil se sont fermés aux étudiants mobilité, parfois complètement, parfois partiellement en privilégiant un enseignement à distance.

Malgré les incertitudes liées à la situation sanitaire et les annulations en cascade de la part des universités partenaires de l’École de médecine, près de la moitié des séjours mobilité planifiés par des étudiant·e·s de l’École de médecine ont pu avoir lieu durant l’année académique 2020-2021 (Mobilité OUT). Quant à Lausanne, elle a su rester une destination de choix pour les étudiant·e·s en médecine d’universités européennes (Mobilité IN).

Après cette année inédite, tous les voyants sont au vert, laissant augurer un retour progressif à la normale et une reprise de la mobilité étudiante à la rentrée prochaine.

À travers cette newsletter, nous vous invitons à un voyage vers la mobilité européenne; une mobilité qui inscrit Lausanne dans le contexte de la formation médicale internationale.
La Direction de l'École de médecine

La mobilité OUT en 2021

TIERS
41destinations
16pays
"Le programme de mobilité OUT de l'École de médecine donne accès à une quarantaine d'universités dans
seize pays d'Europe, dont la Suisse"

"Chaque année, un tiers de la volée de 1re année de Master (environ 80 étudiant·e·s), part en échange dans une université partenaire de Lausanne."

Pr Mauro Oddo
Responsable de la mobilité à l'École de médecine
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Champions de la mobilité !

Les étudiant·e·s en médecine de l’UNIL sont particulièrement mobiles en regard des étudiant·e·s des autres Facultés de médecine suisses. À Lausanne, ce sont près de 80 étudiant·e·s qui effectuent un séjour, généralement d'une année, dans une université étrangère ou suisse.

En comparaison, dans les universités de Zurich et de Bâle, seule une vingtaine d’étudiant·e·s en médecine partent en moyenne chaque année en séjour mobilité. On en compte une petite dizaine à l’Université de Berne. Quant aux Facultés de médecine de Fribourg et de Genève, elles n’offrent pas de programme mobilité à leurs étudiant·e·s.

En contre-partie de cette mobilité OUT, l'École de médecine de Lausanne accueille en mobilité IN des étudiant·e·s des universités partenaires pour suivre des cours ou des stages pratiques. Cette réciprocité est un principe fondamental des accords avec nos partenaires.
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La progression du nombre d'étudiant·e·s partant en mobilité suit celle du nombre d'étudiant·e·s de la volée MMed1. Exception faite pour l'année 2020-2021, année de la pandémie, cela représente environ un tiers des étudiant·e·s qui partent en échange. Un engouement qui ne se dément pas depuis de nombreuses années.

« Ce qui est très spécifique à l’École de médecine en regard des autres filières de l'UNIL, c’est qu’elle rentabilise très bien ses accords, tout comme HEC. Lorsqu’une place est proposée, c’est une place prise presque à chaque fois. »


Sylvie Kohli

Coordinatrice au Service des relations internationales de l’UNIL

La mobilité ? Une formidable opportunité !

Pour le Pr Mauro Oddo, responsable du programme de mobilité à l’École de médecine et également directeur médical pour la recherche et la formation au CHUV, le séjour de mobilité en 1re année de Master est une caractéristique du parcours à l’UNIL et une vraie plus-value pour le futur médecin. «Lausanne a cette longue tradition d’ouverture, héritée du fantastique travail réalisé par mes prédécesseurs», souligne-t-il.

« Le séjour de mobilité en 4e année est une caractéristique du parcours à l’UNIL et une vraie plus-value pour le futur médecin »


L’aventure de la mobilité à l’École de médecine a été initiée dès les années 1990 par le Pr Jean-Pierre Wauters, vice-Doyen en charge de la mobilité à la Faculté de médecine* et Antoinette Charon, alors responsable des Relations internationales de l’UNIL. Ces deux pionniers ont, à eux deux, posé les bases de la mobilité en médecine à Lausanne en tissant les liens et développé les accords dans le cadre du programme Erasmus. Le Pr Pavel Kucera a ensuite repris le flambeau pendant quelques années avant de passer la main au Pr Laurent Schild, qui est resté durant une quinzaine d’années aux commandes de la mobilité à l’École de médecine. À l’époque du Pr Schild, l’École est en plein processus de Bologne, qui aboutit en 2010. Quelques années plus tard, la mobilité des étudiant·e·s suisses est totalement remise en question par le vote du 9 février 2014 «contre l’immigration de masse». La Suisse est exclue du programme Erasmus et l’UNIL renégocie alors dans l’urgence tous ses accords de mobilité pour que ses étudiant·e·s puissent reprendre le chemin de l’Europe dès la rentrée suivante. C’est ainsi qu'est né l'actuel programme de mobilité SEMP (Swiss-European Mobility Programme).

* La Faculté de médecine est devenue la Faculté de biologie et de médecine en 2003 avec, comme corollaire, la création de plusieurs écoles dont l’École de médecine.

Le hit-parade des destinations

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Sur la quarantaine de destinations possibles, les plus prisées des étudiant·e·s se trouvent en Allemagne et en Espagne. « Nous souhaiterions développer un peu plus les destinations vers des pays (ou des cursus) anglophones, qui restent très demandés » commente le Pr Oddo, qui précise que plusieurs nouveaux accords sont en cours de négociation dans ce sens.

La prochaine rentrée verra également le retour de Copenhague et l'arrivée de Milan dans le catalogue des destinations. « L’accord avec Milan Humanitas est une excellente nouvelle, car il permettra d’augmenter les destinations mobilité anglophones puisque les cours y sont tous donnés en anglais » se réjouit le Pr Oddo.

Le top 3 des pays (nombre de sites d'accueil)

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Allemagne (11)

Espagne (8)

Italie (5)

« Lausanne au coeur d'un réseau européen »

L'offre de mobilité est particulièrement riche avec l'Allemagne, l'Espagne et l'Italie, qui proposent de nombreuses destinations aux étudiant·e·s lausannois·e·s. Ce top 3 est suivi par la Belgique et le Portugal. L'Autriche, la France, la Grande Bretagne, le Danemark, la Hongrie, l'Irlande, la Pologne, la Slovénie, la Suède, la Tchéquie et la Suisse complètent ce réseau.

Un cursus flexible pour la mobilité

La mobilité, c’est se confronter à un cursus différent, tant sur la forme que sur le contenu. La 1re année de Master « à l’identique » de celle de Lausanne, cela n’existe pas. « Pour que l’aventure de la mobilité puisse exister, il est essentiel que les étudiant·e·s ne soient pas confrontés à trop d’obstacles et de rigidité dans les choix des cours » explique Sylvie Kohli, coordinatrice au Service des relations internationales de l’UNIL.

« Les étudiant·e·s en mobilité réussissent aussi bien à l'examen fédéral que les étudiant·e·s qui ont suivi le cursus lausannois »

« Nous avons développé une stratégie qui privilégie la mobilité sans pénaliser les étudiant·e·s » explique le Pr Laurent Schild, ancien responsable de la mobilité à l’École de médecine. Une stratégie qui joue la carte de la flexibilité doublée d’une grande responsabilisation des étudiant·e·s pour leur formation. L'étudiant·e s'implique activement dans la préparation de son année de mobilité en préparant un Learning Agreement, aussi proche que possible du cursus lausannois. À charge ensuite de l'étudiant de combler les éventuelles lacunes par le choix de stages spécifiques en 6e année, par exemple.

Une mobilité qui se mérite

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Si l’année de mobilité est une année d’enrichissement personnel, elle représente un effort et une difficulté supplémentaires. «Ce programme est très populaire auprès de nos étudiant·e·s et notre rôle est d’évaluer que le rapport risque-bénéfice pour l’étudiant·e penche du bon côté pour ne pas risquer un échec», explique le Pr Mauro Oddo qui poursuit «c’est rare, mais il faut parfois dire non. Ce n’est pas parce que l’École de médecine offre cette possibilité que tout le monde peut partir !»

Le témoignage d'Alexandre Waldmeyer

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Parti en séjour mobilité à l’Université Humboldt de Berlin en 2019-2020, Alexandre Waldmeyer témoigne avec enthousiasme de son expérience.

« L'UNIL offre des compléments de bourse aux étudiant·e·s qui rencontrent des soucis financiers pour organiser leur mobilité. En plus de la bourse SEMP et du financement des cours de langue »


Maria Velasco

Conseillère au Service des affaires sociales et de la mobilité étudiante de l’UNIL

Mobilité IN, la contrepartie qui fait rayonner Lausanne

La réciprocité est la condition sine qua non de la mobilité et des accords avec nos partenaires. Lausanne doit ainsi faire preuve de son attractivité auprès des universités étrangères pour maintenir la mobilité de ses étudiant·e·s. Le Pr Laurent Schild témoigne « Choyer les étudiant·e·s de mobilité IN fait partie des stratégies pour consolider les bonnes relations avec nos universités partenaires ». Exception faite de l’année de la pandémie, l'École de médecine de l'Université de Lausanne peut s’enorgueillir d’attirer chaque année quelque 60 étudiant·e·s de mobilité IN.

Parmi ces étudiant·e·s, une grosse trentaine vient pendant un ou deux semestres pour suivre des cours choisis dans l’offre d’enseignement lausannois qui va de la 3e année de Bachelor à la 2e année de Master. « Du sur-mesure qui permet de proposer le meilleur alignement possible sur le cursus de l’université partenaire » explique Rachele Montefinese, gestionnaire de la mobilité IN à l’École de médecine.

L’attractivité de l'École de médecine de Lausanne tient également à la réputation de l’hôpital universitaire qui figure au palmarès des 10 meilleurs hôpitaux du monde selon le magazine Newsweek. Plus d’une vingtaine d’étudiant·e·s viennent ainsi réaliser leurs stages cliniques à Lausanne. La langue de Molière pourra certainement devenir un atout pour la carrière de ces futur·e·s médecins en provenance d’Allemagne (pour moitié), mais également d’Espagne, Italie, Belgique, Portugal ou de Tchéquie notamment.

En participant aux programmes d’échanges, l’UNIL s’est engagée à respecter les principes des chartes Erasmus / SEMP et à encadrer de façon appropriée les étudiant·e·s en mobilité. L’accueil et l’assistance sont ainsi particulièrement soignés, tant par l’UNIL que par l’École de médecine; des efforts qui participent à l’attractivité de la place lausannoise dans les échanges européens.

Hommage aux pionnières et aux pionniers

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Antoinette Charon Wauters
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Pr Laurent Schild
L’histoire de la mobilité en médecine à Lausanne n’aurait pas pu s’écrire sans l’enthousiasme et la ténacité de deux pionniers : Mme Antoinette Charon et le Pr Jean-Pierre Wauters, respectivement responsable des relations internationales à l’UNIL et vice-Doyen responsable de la mobilité à la Faculté de médecine. Une demi-Belge et un Belge pour qui il était évident que la Suisse devait participer à cet élan international entamé autour des années 1990 avec le programme Erasmus. Les liens et le réseau international qu’ils ont créés il y a trente ans restent le socle de la mobilité actuelle et un héritage précieux pour l’École de médecine.

Les adresses de la mobilité

Pr Mauro Oddo
Coordinateur Mobilité EM
mobilite_med@unil.ch
Mme Lucia Palazzo
Étudiants Outgoing

mobilite_med@unil.ch
Tél. : +41 (0)21 692 50 44
Mme Rachele Montefinese
Étudiants Incoming

mobilite_med@unil.ch
Tél. : +41 (0)21 692 50 18

unil.ch/ecoledemedecine/Mobilite

Mme Sylvie Kohli
Service des relations internationales UNIL
Coordinatrice SEMP

    erasmus@unil.ch
    Mme Maria Velasco
    SASME UNIL (bourses de mobilité)
    Conseillère

      maria.velasco@unil.ch

      La rubrique « people »

      Prix d'excellence pour l'UFAM. Maintenir l'enseignement des travaux pratiques au printemps 2020 relevait de la gageure ! Pour pallier aux contraintes sanitaires liées à la pandémie, l'Unité facultaire d'anatomie et de morphologie (UFAM) a adapté de façon majeure l'enseignement des TPs d’anatomie, embryologie et histologie, avec le soutien des équipes de l’École de médecine. Ce travail exceptionnel et innovant vaut à Michel Kielar, Sandor Kasas, Sara Sabatasso, Julien Puyal et Hugues Cadas de recevoir l'Outstanding Undergraduate Teaching Award 2021 de la FBM. Il servira de base pour l’amélioration continue de ces travaux pratiques qui forment une base essentielle du cursus (niveau Bachelor).
      Remise des FBM Awards
      Les lauréats de l'UFAM reçoivent leur prix des mains du Pr Patrick Bodenmann, vice-Doyen à l'enseignement. © CHUV 2021 | Dom Smaz

      Outre la multiplication des séances d'anatomie pour réduire le nombre d’étudiant·e·s présent·e·s dans la salle de dissection, le réaménagement proposait de modifier le déroulement des séances, de produire des vidéos de démonstration de pièces anatomiques pour compléter l’enseignement, de développer des volumes en 3D pour visualiser les concepts importants et de déployer avec succès une nouvelle plateforme de microscopie virtuelle.

      L’équipe de l’UFAM a fait preuve d'une rare capacité d’adaptation, de beaucoup de créativité et d'un dévouement hors du commun pour assurer un enseignement de qualité, malgré les circonstances. Un investissement très apprécié par les étudiant·e·s.
      JPouille
      Jérémy Pouille, nouveau responsable de l'UnEvAp. Expert en évaluation et en docimologie, Jérémy Pouille a rejoint l'École de médecine au 1er janvier 2021 pour prendre les rênes de la nouvelle Unité des évaluations des apprentissages (UnEvAp) créée à l'automne 2020. Bienvenue !
      passerelle
      « Programme Passerelle » : le Pr Blaise Genton passe le témoin au Pr Patric Hagmann. Alors que la 3e volée d’étudiant·e·s Passerelle termine son année de mise à niveau, le Pr Blaise Genton, responsable académique de ce programme depuis sa création en 2018, passe le flambeau au Pr Patric Hagmann. C’est l’occasion de jeter un coup d’œil dans le rétroviseur et de dessiner les perspectives de ce programme innovant et ambitieux qui prépare des Bachelier·e·s en biologie ou en ingénierie des sciences du vivant à intégrer la première année de Master en médecine.
      MPascual
      Manuel Pascual, nouveau Doyen de la FBM. Élu le 12 janvier 2021 par le Conseil de Faculté, et confirmé par le Conseil de direction UNIL-CHUV-Unisanté le 24 mars 2021, Manuel Pascual deviendra le 1er août 2021 le nouveau Doyen de la Faculté de biologie et de médecine (FBM) de l’UNIL, succédant à Jean-Daniel Tissot. Ce n’est pas un inconnu à la FBM, puisque le patron du service de transplantation au CHUV a déjà effectué deux mandats comme vice-Doyen. Son portrait.
      Decanat
      Le Décanat nouveau est arrivé !
      Après la nomination de Manuel Pascual au début de l’année au poste de Doyen de la Faculté de biologie et de médecine de l'UNIL, voici les quatre vice-Doyennes et vice-Doyens qui composeront son équipe. Ce sont trois nouvelles têtes et un vice-Doyen sortant qui ont été élus lors du Conseil de Faculté du 18 mai 2021. L'équipe prendra ses fonctions le 1er août 2021. Présentation.

      Quoi de neuf ?

      Honneur aux Bachelières et Bacheliers 2020. L’École de médecine est fière de vous présenter ses 217 Bachelières et Bacheliers 2020 ! S’il est vrai que rien ne peut remplacer la montée sur scène pour recevoir son Diplôme, l’École de médecine a tenu à souligner cette étape importante et l’immortaliser en publiant une galerie de portraits que nous vous invitons à découvrir (identifiants UNIL nécessaires pour accéder à la galerie).
      bacheliers
      Le Master en médecine, c'est ? Un passage obligé pour devenir médecin... mais encore ? Découvrez le témoignage vidéo de Raphaël Porret, diplômé en médecine 2020, sur la chaîne YouTube de l'UNIL.
      Video_Master_RPorret
      Bibliothèque pédagogique de l’UPMed à votre disposition. Une riche collection d'ouvrages susceptibles d'aider les enseignant·e·s de l'École de médecine dans leur action pédagogique est à disposition des enseignant·e·s. Consultez-la!
      bibliotheque

      Bien enseigner, tout un programme !

      Vous désirez développer ou perfectionner vos compétences pédagogiques? Le programme TeachUP! offre tout un ensemble de formations et d'ateliers à destination des enseignant·e·s de l’École de médecine. Focus sur deux formations TeachUp! :
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      La revue de littérature

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      Comment développer et évaluer les compétences en communication des étudiant·e·s en médecine ? La question est d’importance et a fait l’objet de travaux financés par l’OFSP, avec en ligne de mire l’amélioration continue de l’examen pratique fédéral (ECOS). Ces travaux de recherche en pédagogie médicale ont été réalisés par un groupe de travail réunissant toutes les facultés de médecine suisses et ont fait l’objet de trois articles scientifiques.
      Monti, M., Klöckner-Cronauer, C., Hautz, S.C. et al. Improving the assessment of communication competencies in a national licensing OSCE: lessons learned from an experts’ symposium.
      Junod Perron, N., Klöckner Cronauer, C., Hautz, S.C. Monti M. et al. How do Swiss medical schools prepare their students to become good communicators in their future professional careers: a questionnaire and interview study involving medical graduates, teachers and curriculum coordinators.
      C. Bachmann, R. Kropf, S. Biller, KP Schnabel, N. Junod Perron, M. Monti, C. Berendonk, S. Huwendiek, J. Breckwoldt. Development and national consensus finding on patient-centred high stakes communication skills assessments for the Swiss Federal Licensing Examination in Medicine.
      Crédits photographiques : © CHUV, UNIL, Dreamstime.com, droits réservés

      Newsletter n°2 – Édition du 23 juin 2021

      Éditeur

      UNIL | Université de Lausanne
      École de médecine
      Rue du Bugnon 21
      1011 Lausanne

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