Recherche

Chaque fiche se voit attribuer un ou plusieurs rédacteurs qui ont la possibilité de la modifier. Les états permettent de gérer la visibilité de la fiche. Par défaut, la fiche est privée, ce qui signifie que seuls ses rédacteurs peuvent la voir. L’état ouvert permet de donner accès à la fiche au(x) responsable(s) de l’espace, qui a aussi les droits d’édition sur les fiches. Finalement, l’état ouvert permet à tous les utilisateurs de l’espace de consulter la fiche, en lecture seule.

Par défaut, un email est envoyé au(x) responsable(s) à chaque changement d’état, mais cela peut être désactivé dans les réglages de la fiche.

D’autres états et actions sont configurables par le(s) responsable(s).

Exemple 1 : une chercheuse travaille individuellement sur des données puis les rend disponibles à son équipe de recherche.

Exemple 2 : un doctorant donne accès à une transcription à sa directrice pour qu’elle puisse la réviser.

Chaque fiche dispose d’une case où introduire des étiquettes (tags). Un système d’autocomplétion permet de réutiliser facilement les étiquettes déjà introduites dans l’espace.

Dans le menu «Configurer» de chaque espace, un onglet est spécifiquement dévolu aux étiquettes introduites. Il recense les étiquettes utilisées et permet de les renommer, d’en supprimer ou d’en ajouter. Finalement, une option permet de récupérer le jeu d’étiquettes créé dans un autre espace.

Une fois des étiquettes introduites, il est possible de filtrer les fiches d’un cours, en ne faisant apparaître que celles qui présentent telle ou telle étiquette.

Exemple 1 : un doctorant travaillant sur les interactions médicales désire les séquences présentant du rire.

Exemple 2 : une équipe de chercheurs travaillant sur le code-switching se concentre temporairement sur les séquences narratives.

Exemple 3 : un chercheur travaillant sur l’argumentation extrait les séquences à trois locuteurs engagés dans un repas de famille.

IMPACT permet d’opérer des recherches textuelles au sein des différentes cases et/ou des recherches par étiquettes.

Exemple 1 : un chercheur isole toutes les interactions à deux locuteurs qui présentent le pronom « on » dans la transcription.

Exemple 2 : une équipe travaille sur les présentatifs et isole les extraits présentant « c’est » et «(il) y a » .