Membres du groupe :
- Rita Haodiche, AR
- Julia Oswald, AR
Qu’est-ce qui vous a donné envie de vous inscrire dans ce cours ?
Pour plusieurs raisons : Le fait que ce soit différent de ce qu’on voit d’habitude, qu’il n’y a pas de cours à apprendre par cœur mais également qu’on puisse « modifier » le cours au fil des semaines. En plus le thème de « Dishumanities » est un thème très intéressant, surtout pour développer son propre projet.
En bref, ce néologisme, « Dishumanities » qu’est-ce que cela vous évoque ?
Le contrôle de l’humain et ses limites. Que la question de l’humain est plus difficile et complexe qu’on le pense et qu’il a plein des facteurs qui interviennent dans cette question sans qu’on s’en rende compte
Quel était l’élément déclencheur derrière le choix de votre sujet pour le projet de fin de semestre ?
Nous voulions absolument travailler avec la photographie donc quand ils nous ont montré les photos criminelles on a décidé de faire un projet dans cette direction. Ensuite, le thème de Frankenstein nous a également inspiré.
Qu’est-ce qui vous a motivé à travailler sur un médium en particulier (photo) pour illustrer votre sujet ?
Vu qu’on voulait faire un projet dans le même genre que les photos criminelles la question ne s’est pas posée.
Quelles étaient les difficultés que vous avez rencontrées lors de la réalisation du projet ?
Au début c’était difficile de comprendre ce que s’attendaient les professeurs.
Le fait que le thème est très large et qu’on s’y perd facilement, donc pour nous c’était difficile de choisir un thème précis. Et puis le fait que pas toutes les personnes ont voulu être prises en photo et de ne pas savoir réellement pourquoi.