Membres du groupe :
- Marta De Benito, AR (Représentante)
- Hanna Elatifi, AR
- Loïc Godon, AR
Qu’est-ce qui t’a donné envie de t’inscrire dans ce cours ?
Pouvoir continuer à travailler sur le thème de l’humain [dans le cadre des SHS] : l’année passée j’étais en Santé et début de cette année, j’étais en Sciences et Religion. J’ai donc traités des sujets assez liés à l’humain. Je trouvais que ça se complétait assez bien de traiter du féminisme [ce dont ce cours a pu parler].
En bref, ce néologisme, « Dishumanities » qu’est-ce que cela t’évoque ?
Au début, Rien du tout !!! [Rires]. Ensuite j’ai pu faire le lien avec les films qu’on a vu. Je l’associe notamment avec le film Cloud Atlas.
Quel était l’élément déclencheur derrière le choix de votre sujet pour le projet de fin de semestre ?
Le fait de trouver un rapport avec ce que l’on fait en architecture, surtout avec l’objectif d’illustrer une partie du corps qu’on utilise le plus en architecture : les mains. Et le fait de faire un projet de photographie nous a aussi motivé : d’habitude on utilise notre appareil photo pour les maquettes et là on s’est dit chouette ! on va pouvoir l’utiliser sur des corps humains. Photographie et mains, ça nous convenait bien.
Qu’est-ce qui vous a motivé à travailler sur un médium en particulier (photo) pour illustrer votre sujet ?
On a l’habitude d’immortaliser ce que l’on fait par des dessins en architecture et la photographie s’est présentée comme une alternative un peu plus rapide : on peut retoucher sur Photoshop facilement d’autant plus qu’on commence à bien connaitre ces logiciels. C’était clairement plus adapté que la peinture par exemple !
Quelles étaient les difficultés que vous avez rencontrées lors de la réalisation du projet ?
On n’en a pas forcément eu beaucoup… à part le fait d’essayer vraiment de déshumaniser la main d’une façon ou d’une autre. On avait un peu peur que ça finisse par être juste des photos jolies : c’est vrai qu’à des moments on était plus tenté de se focaliser sur la beauté de la photo et de ne pas chercher derrière… mais sinon, on n’a pas eu d’autres difficultés.