Membres du groupe :
- Khelil Joudane, MT (Représentant)
- Chada Ben Nejma, PH
- Jean-Baptiste Decoppet, GC
- Romain Gratier, GC
- Lucas Labrosse, GC
Qu’est-ce qui t’a donné envie de t’inscrire dans ce cours ?
Au début, le titre était « Le genre et ses représentations », et ça m’intéressait. Puis après ils ont changé le titre et ça me plaisait et j’étais curieux de voir l’évolution du cours.
En bref, ce néologisme, « Dishumanities » qu’est-ce que cela t’évoque ?
Le rôle qu’on peut jouer dans la société et comment on y est perçu.
Quel était l’élément déclencheur derrière le choix de votre sujet pour le projet de fin de semestre ?
Je suis fan du Rocky Horror Picture Show, et du coup quand on a parlé de faire une représentation de film, en parlant de Frankenstein, j’y ai directement pensé. En plus, en y réfléchissant, il y a un rapprochement entre le cours et le film vu que ça traite du genre et de l’humanité des personnages, puisqu’on se rend compte que ce sont des extraterrestres. De plus, la création du Rocky évoque beaucoup Frankenstein, élément central au cours.
Qu’est-ce qui vous a motivé à travailler sur un médium en particulier (théâtre) pour illustrer votre sujet ?
À la base on avait pensé à faire un film (prendre une scène et la refaire nous-mêmes), mais cela nous aurait pris beaucoup de temps, du coup, l’idée à évolué en théâtre, surtout qu’on avait beaucoup de motivés pour en faire. En plus, se déguiser, c’était sympa. C’est aussi le mélange entre fond sérieux/formel et représentation déjantée nous a poussé à le présenter comme ça et de subvertir les codes des cours traditionnels.
Quelles étaient les difficultés que vous avez rencontrées lors de la réalisation du projet ?
Écrire la partie sérieuse de la pièce (avec les diapositives) car on voulait avoir un discours qui tient la route, sérieux, avec un message derrière, et ça nous a pris beaucoup de temps. Le reste (déguisements, etc.) nous a pris moins de temps car nous étions motivés à le faire. Une autre difficulté à été de se coordiner pour la danse.