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Membres du groupe :
- Lucas Bastos Vieira, AR (Représentant)
- Marion Fonjallaz, AR (Représentant)
- Raphaël Delmuè, AR
- Simon Jobin, AR
- Yamina Sam, AR
- Mathieu Viennet, AR
Qu’est-ce qui vous a donné envie de vous inscrire dans ce cours ?
On trouvait le sujet intéressant, et travailler sur Frankenstein, et d’avoir plusieurs films de référence, comme Cloud Atlas, ainsi que les conférences et workshops. C’est la description de base qui nous a poussé à aller là-dedans, et en plus ça change pas mal de nos études !
En bref, ce néologisme, « Dishumanities » qu’est-ce que cela vous évoque ?
Pour moi c’est un peu en rapport avec la société actuelle : comment on en arrive à un point où l’être humain n’est plus vraiment humain dans sa définition, ce qui fait réfléchir sur cette définition.
Quel était l’élément déclencheur derrière le choix de votre sujet pour le projet de fin de semestre ?
On avait eu des cours en première année, qui s’appelaient « Cadavre Exquis » une fois par mois à peu près, pendant lesquels des architectes nous projetaient 10 films différents en même temps, avec des bandes sonores qui s’entrecoupaient, qui s’emmêlaient, mais c’était vraiment un cadavre exquis, ça ne voulait rien dire ! On ne voyait que la beauté de la chose, mais sans rien y comprendre.
Qu’est-ce qui vous a motivé à travailler sur un médium en particulier (musique) pour illustrer votre sujet ?
On avait envie de travailler sur les films dont on nous avait parlé en cours. On a donc essayé de faire quelque chose de la même façon, tout en faisant quelque chose d’un peu plus compréhensible. Ces cadavres exquis, c’est juste de donner un sens par la beauté à des choses qui n’ont aucun rapport ensemble.
Quelles étaient les difficultés que vous avez rencontrées lors de la réalisation du projet ?
Ce sont surtout les aspects techniques pour réaliser la vidéo. Une fois qu’on a les citations tirés du roman de Shelley, il fallait choisir les bonnes prises. Il fallait aussi réfléchir aux films qu’on a choisi: Cloud Atlas et Blade Runner, quelles scènes allaient correspondre à chaque extrait, et comment les mettre en parallèle. Il ne faut pas qu’elles soient trop opposées ou trop ressemblantes, et il faut finalement réussir à synchroniser tout ça pour que ça donne quelque chose de cohérent. L’aspect technique était surtout long et difficile.