Membres du groupe :
- Scott Matthews Salmon, GC (Représentant)
- Grégoire Jamet, GC
- Loic Senser, GC
- Jean Viviant, GC
- Cyril Thillaye Du Boullay, GC
Qu’est-ce qui t’a donné envie de t’inscrire dans ce cours ?
Je me suis inscrit un peu par dépit dans ce cours, parce qu’à la base, j’avais choisi une SHS dans laquelle j’étais tout seul, et c’était un peu triste. Du coup, je me suis demandé ce qui pourrait être sympa, et j’ai vu que là il y avait des projets artistiques et c’était cool, alors je me suis dit, autant essayer.
En bref, ce néologisme, « Dishumanities » qu’est-ce que cela t’évoque ?
Moi ça m’évoque surtout la représentation de l’humain, comment on se représente et comment on peut se représenter devant d’autres. C’est pour ça qu’on a choisi un sujet qui tourne autour de Frankenstein: c’est un « monstre », et on essaye d’adopter un autre point de vue afin de montrer, justement, que la créature est humaine et que les humains sont des créatures.
Qu’est-ce qui vous a motivé à travailler sur un médium en particulier (le film) pour illustrer votre sujet ?
Premièrement, c’était pour la blague, parce qu’on s’est dit que ça pourrait être drôle de faire un projet vidéo et qu’on allait bien rigoler en le faisant, et ensuite, notre projet est basé sur un film, du coup c’était dans la suite plus ou moins logique de faire un projet vidéo. C’est aussi la manière la plus simple de représenter les points de vue, avec le son et les images. Ou plutôt, la manière la moins complèxe d’y parvenir.
Quelles étaient les difficultés que vous avez rencontrées lors de la réalisation du projet ?
La principale difficulté, c’était de trouver des moments où on pouvait tous se voir en même temps. Autrement, il n’y a pas eu de grande difficulté, sauf peut-être au montage, où on a eu quelques soucis parfois, et pour lequel il fallait avoir beaucoup de rigueur. En général, les problèmes étaient plutôt d’aspect technique.