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Stimuler notre cerveau pour aller plus vite: ça marche?

CHRONIQUE. Puisque la tête commande le corps, il doit être possible de l’entraîner de la même manière. L’idée séduit de nombreux scientifiques et industriels mais les connaissances actuelles incitent à la prudence, explique le chercheur Nicolas Place dans la chronique mensuelle de l’Université de Lausanne

Kirby Smart, head coach des Georgia Bulldogs, le 2 novembre 2019 à Jacksonville. — © Mike Ehmann/AFP Photo
Kirby Smart, head coach des Georgia Bulldogs, le 2 novembre 2019 à Jacksonville. — © Mike Ehmann/AFP Photo

«Exercise starts and ends in the brain» est le titre d’un article scientifique de Bengt Kayser (actuel directeur de l’Institut des sciences du sport de l’Université de Lausanne, Issul) paru en 2003. Pour prétendre à la victoire, il faut donc à la fois des muscles sculptés pour répondre aux exigences du sport pratiqué, mais également un système de pilotage optimisé. Et c’est bien le cerveau, tel un chef d’orchestre d’une précision digne d’une horloge suisse, qui va permettre cette symphonie des quelques centaines de milliers de fibres musculaires qui se contractent pour permettre de franchir la ligne d’arrivée avant l’adversaire.

Lire aussi:  Quand les sportifs entraînent leur cerveau

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