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Le personnel est formé spécialement aux soins en médecine intensive. « Au-delà des aspects techniques, les contacts humains sont essentiels », indique Thierry Szostek, infirmier chef au Service de médecine intensive adulte du CHUV. Par exemple, il faut apprendre à détecter la douleur ou l’inconfort chez des personnes qui ne peuvent pas parler. Les soignants parlent aux patients comateux comme s’ils étaient conscients. © Nicole Chuard

Le personnel est formé spécialement aux soins en médecine intensive. « Au-delà des aspects techniques, les contacts humains sont essentiels », indique Thierry Szostek, infirmier chef au Service de médecine intensive adulte du CHUV. Par
exemple, il faut apprendre à détecter la douleur ou l’inconfort chez des personnes qui ne peuvent pas parler. Les soignants parlent aux patients comateux comme s’ils étaient conscients. © Nicole Chuard

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